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Point travaux / Semaine 25

Le dernier morceau de dalle du 1er niveau de parkings a été coulé. Le coeur de la rampe d’accès aux sous-sols sort de terre. Les supports de la rampe sont implantés. Les murs de soutènement techniques progressent et le coulage de la dalle refermant l’ensemble des sous-sols de l’immeuble a été débuté cette semaine.

Pour débuter, la rampe : 3 jours séparent ces 2 photos de construction du coeur de la rampe d’accès voiture aux sous-sols de l’immeuble.

Autour de ce coeur, apparaissent ce qui doit être des bases de piliers de soutènement de la rampe.

Les autres accès intérieurs sont maintenant enfermés dans les dalles et murs support. Des escaliers ont été livrés pour les équiper.

La dernière partie de la dalle du 1er niveau de sous-sol a été achevée. Les 3 niveaux de sous-sol sont donc complets.

Les éléments techniques apparaissent : poutres maîtresses, préparation de passage de câbles et tuyaux, … Un doute subsiste sur un espace de belle hauteur sous plafond, au dessus du 1er niveau de parkings …

Du côté Ouest a débuté la fermeture des niveaux de sous-sols de l’immeuble, par le coulage de la dalle supérieure.

A l’extérieur du bâtiment apparaissent l’installation de bouches de collecte des ordures ménagères par pneumatique ainsi que des tuyaux d’arrivée de … sur le trottoir devant Parc 17.

Pour finir 😉

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Francis Soler : « Chacun de mes bâtiments est une œuvre »

L’architecte de Parc 17 nous a reçu pour une interview exclusive.        Il nous a raconté la naissance du bâtiment, confié les contraintes du projet, révélé ses choix artistiques.

Un entretien passionnant avec le « père » de notre futur immeuble.

Francis Soler est un architecte renommé pour avoir réalisé des équipements publics et des immeubles d’habitation ambitieux. Il a reçu le Grand prix d’Architecture, en 1990. Il s’est distingué, par exemple, par son travail sur le Ministère de la Culture, rue des Bons-Enfants, avec sa résille d’acier. Autre réussite : son immeuble de logements sociaux, colorés de sérigraphies, rue Durkeim, près de la BNF, à Paris. Entre autres.

Quelle est la genèse de votre projet à Clichy-Batignolles ? 

C’est déjà une histoire ancienne pour moi. Un premier promoteur, autre que Vinci, m’avait interrogé car il voulait acquérir cette petite parcelle. La dimension de la parcelle, c’est la dimension du bâtiment. C’est très inhabituel. On a zéro espace autour, donc c’est assez compliqué. J’avais donc déjà fait une étude, un ou deux ans avant que Vinci ne s’y intéresse. Cette étude de définition permettait de voir comment on pouvait utiliser cette parcelle coincée entre le mur de l’hôtel Ibis et le parc. Avec les contraintes que la ville avait fixées, cela limitait la parcelle à 10-12 mètres d’épaisseur, ce qui, aujourd’hui, n’est pas très rentable car un bâtiment de logements se fait habituellement sur 14 mètres d’épaisseur.

Dans un bâtiment, il y a toujours les parties fixes. Il faut un escalier, un ascenseur, des gaines techniques, des gaines de montée, des gaines de ventilation… Maintenant, ces parties dites communes deviennent de plus en plus importantes à cause des règlements handicapés, de sécurité… Donc, ces parties techniques, ça prend de la place. La difficulté, c’est que la parcelle nous imposait un gabarit. En ce moment, je fais un projet sur le plateau de Saclay pour EDF. J’ai 8 hectares où je peux faire les formes que je veux, je peux monter, je peux descendre, je peux m’étaler… Avec Parc 17, j’avais une largeur, une longueur et une hauteur définies. A partir de là, une fois que vous avez mis les parties fixes, il reste ce qu’on appelle du « gras ». C’est ce que vend le promoteur. Et dans ce bâtiment, le gras est très faible.

Dessin Francis Soler – Premier projet Parc 17

Pour la petite histoire, le bâtiment, avec lequel on a gagné le concours, faisait 9 étages et non pas 11, comme aujourd’hui. Ce premier projet de bâtiment était extrêmement dense. C’était une barre pleine où il n’y avait pas de terrasses. Il n’y avait que des appartements autour de deux cages d’escalier. Il s’avère qu’après avoir gagné le concours, on a commencé à dialoguer avec la Ville. Les remarques d’Anne Hidalgo, c’était : « Je ne veux pas de barre. Ce bâtiment me rappelle trop mes jeunes années dans les banlieues. Trouvez-moi des éléments qui me permettent d’avoir de la transparence, de la fluidité, de l’espace… ». Moi, j’étais forcément d’accord, mais il fallait penser au promoteur qui devait équilibrer son budget avec un bâtiment tout fin. On est avec lui pour trouver un équilibre architectural confortable pour les habitants et en même temps le rendement du projet. Nous avons donc fait six ou sept propositions successives jusqu’à arriver à celle d’aujourd’hui avec des percées qui permettaient des transparences sur les loggias. Mais, du coup, on perdait des mètres carrés. Donc, tout ce que l’on avait perdu avec les terrasses, il a fallu le retrouver en faisant deux étages de plus. Il fallait retrouver un équilibre économique. Avec les terrasses, on augmentait les linéaires de façade. Un bâtiment en façade pleine, comme le premier projet, coûte moins cher qu’un bâtiment qui a des percées. C’est plus difficile à construire, à isoler… Surtout avec les contraintes énergétique de la Ville qui sont très draconiennes. Il faut être dans le HQE, dans le Plan Climat, c’est très compliqué à régler. Il nous a fallu deux ans pour régler tout cela et retrouver un équilibre économique.

Au final, je trouve que toute cette confrontation a été très utile. Cette « battle », comme on dit aujourd’hui, entre la Ville et Vinci a abouti à un équilibre, qui est le bâtiment que vous connaissez. Je préfère nettement ce bâtiment avec ces deux percées.

Une des particularités de ce bâtiment est qu’il va être beaucoup vu. Vous avez pris en compte ce regard des gens depuis le parc ?

C’est évident. Sur la façade Sud, on a choisi des éléments entièrement vitrés, ouverts sur le parc. Il y a une différenciation entre le bas et le haut. La partie haute est en relation avec le ciel avec des grands garde-corps en verre et la partie basse est plus complexe avec des garde-corps en tube inox et des éléments sérigraphiés. C’est pour une question de confidentialité. J’ai pris conscience que le bâtiment allait être vu du parc. Les quatre premiers niveaux sont plutôt planqués derrière les sérigraphies. Ainsi, les gens, dans ces étages inférieurs, vont pouvoir voir dehors sans qu’on les voit chez eux. Par contre, à partir du cinquième étage, le verre va refléter le ciel et vous ne verrez jamais dans les appartements. Plus vous monterez, plus le reflet masquera l’intérieur.

C’est tout un travail de mise en scène qui permet de maintenir la confidentialité des appartements bas par rapport au parc. Dans une rue, je n’aurais pas fait ça. Par rapport au haut, on essaie de rendre le bâtiment plus évanescent avec des garde-corps vitrés, purs.

Le travail à l’arrière du bâtiment est plus opaque, car la relation à l’hôtel Ibis n’est pas formidable. Les fenêtres sont plus fermées pour que les clients de l’hôtel ne puissent pas voir dans les appartements et que, dans l’appartement, on ne voit pas l’hôtel.

La sérigraphie en façade, c’est quelque chose que vous avez déjà utilisé dans les immeubles d’habitation de la rue Durkeim, face à la BNF, et allée Paul Signac, à Clichy. Pourquoi aimez-vous mettre des sérigraphies sur les surfaces vitrées ?

Vous savez, je suis un Méditerranéen. J’aime bien avoir un maximum de lumière et, en même temps, je ne souhaite pas être vu dans mon intimité. Voir sans être vu, c’est toujours le problème dans le Sud. Donc, le moucharabié moderne, c’est la sérigraphie. D’abord, parce que cela teinte le sol, les éléments. Cela permet d’être chez vous, de voir dehors, sans être vu. Et puis, cela permet de raconter une histoire. Les bâtiments ont toujours été des supports à conter des choses, à raconter des histoires.

Immeuble d’habitations avec sérigraphies, rue Durkeim, Paris 13

Vous avez dit qu’un bâtiment doit être « beau et avoir du sens », l’utilisation de la sérigraphie, c’est dans cette logique ?

Oui, on n’est pas dans la banalisation de l’ouvrage. Moi, je ne suis pas un architecte qui construit énormément. Je construis peu de choses, mais j’essaie de les faire bien. A chaque fois, ce sont de petites œuvres. Je dis souvent qu’un bâtiment cesse d’être un ouvrage pour devenir une œuvre à partir du moment où il cesse d’appartenir à son auteur pour appartenir à ceux qui le prennent en main. C’est ainsi que j’ai conçu le ministère de la Culture avec la résille métallique sur sa façade à Paris. La rue Durkeim, c’est la même chose. 95%, voire 100% des habitants à qui on a demandé s’ils souhaitaient que l’on retire la sérigraphie ont répondu non. Car ils considèrent que cela leur appartient, que cela fait partie de leur chez eux. Il y a une identification, une appropriation importante alors qu’au début j’ai été traité de fasciste, de communiste, car j’imposais ma vision aux gens. Je leur expliquais que c’était des émaux transparents, des images. Les personnes mettent biens des petits rideaux à Vichy chez eux. Ce que je veux moi, c’est homogénéiser les petits rideaux à Vichy en leur donnant un sens. Cela a été difficile à faire passer. Maintenant, c’est dans la culture des gens. Tout le monde met des résilles partout. Tout le monde met de la sérigraphie partout. Il faut du temps, c’est tout.

Mon idée à l’origine était de mettre en option les deux garde-corps, sérigraphiés ou transparents. Le bâtiment aurait été dessiné par les acquéreurs. L’œuvre serait devenue collective, complètement aléatoire. Mais, pour la commercialisation, c’était trop compliqué.

Vos choix artistiques ont-ils été compris par le promoteur ?

Le promoteur aurait peut-être préféré qu’il n’y ait pas de sérigraphies du tout, car ça peut être une contrainte à la vente. Vinci s’inscrit, aujourd’hui, dans les promoteurs à la fois prudents et contemporains. Ils font travailler des architectes renommés comme Dominique Perrault, Anne Demians, la star du moment (c’est elle qui fait le bâtiment de bureaux en forme de TGV près de Pereire 17), Stéphane Maupin, un jeune architecte talentueux qui fait Pereire 17. Ils font aussi travailler Bocabeille Prego sur Cardinet 17.

Ils ont donc cette envie d’architecture contemporaine, mais ils peuvent se faire rattraper par des préoccupations commerciales, la peur que les clients ne veulent pas des sérigraphies et les fassent enlever. Dans le privé, ils essaient de se mettre dans la tête des gens qu’ils pensent être intéressés.

Comment intervenez-vous une fois que le chantier a débuté ?

Depuis que le chantier a démarré, nous le suivons de près avec mon équipe. Nous sommes en contact avec les entreprises qui ont des dossiers très précis qui couvrent tous les sujets. Sur place, il y a un conducteur d’opérations, un ingénieur centralien, plus d’autres experts. Nous avons la mission complète : étude, suivi de travaux et livraison. Ce qui devient de plus en plus rare, car les promoteurs dans le privé ont parfois tendance à prendre des architectes pour dessiner les projets et à les éjecter ensuite pour la construction.

Nous, on cherche à donner aux acquéreurs la chose la plus près possible de ce que l’on a proposé, de ce que l’on a dessiné. Comme, dans notre agence, nous sommes très techniques, nous pouvons aller jusqu’au bout.

Quel regard portez-vous sur la ZAC ? Sur l’aménagement et les bâtiments ?

Moi, je trouve ça bien. C’est moderne, aéré. On est dans un urbanisme proche de celui qu’a fait Jean-Pierre Buffi le long du parc de Bercy et qui est une grande réussite à Paris. Ce sera la même ambiance, particulièrement du côté Nord de la ZAC où se trouvera Parc 17. Par contre, du côté Sud, entre le parc et les voies ferrées, il va manquer d’aération et d’espace entre les bâtiments. Cela risque de faire un peu « foire expo »…

Comment voyez-vous l’arrivée de la Cité judiciaire avec le bâtiment signé Renzo Piano ?

C’est très bien. Avoir un équipement de cette envergure, près de chez soi, c’est un élément majeur. De plus, avec Renzo Piano, on est dans la même écriture, dans la même famille de pensée, dans la même modernité, un peu sensible, subtile, travaillée. Ce n’est pas seulement de la baie vitrée. Il y a tout un travail sur les épaisseurs et la perception. Renzo Piano est l’un des architectes que je regardais le plus dans les années 80. C’est à la fois un technicien et un sensible. Ça se voit, par exemple, avec le Centre culturel Jean-Marie Tjibaou, qu’il a fait à Nouméa.

Il y aura une cohérence, un dialogue, entre Parc 17 et la Cité judiciaire de Renzo Piano, même si son projet est postérieur au mien. Entre les deux, il y aura un autre bâtiment dans le même esprit, celui Manuel Gausa, un architecte espagnol, un ami à moi, qui va faire les immeubles de logements pour la Cogedim, à l’Ouest, juste à côté de Parc 17.

Nous remercions chaleureusement M. Francis Soler de nous avoir accordé du temps pour répondre à nos interrogations. Il s’est montré d’une grande disponibilité pour nous confier ses desseins pour Parc 17. Nous espérons que d’autres rencontres avec lui et son équipe nous permettront d’accompagner, en connaissance de cause, la sortie de terre du bâtiment.

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Point travaux / Semaine 21

Cela avance très sérieusement du côté ouest du bâtiment cette semaine. Les locaux présupposés apparaissent clairement, de même que le niveau technique. La construction de grosses poutres de béton armé visant la consolidation de l’immeuble est en cours. Du côté Est du bâtiment, le mur extérieur de la rampe est relié aux 2 parties, est et nord. Il ne reste vraiment beaucoup plus de remblais à évacuer… c’est sans doute pour cela que le tractopelle vert a été évacué du chantier.

Pour débuter, une vision lointaine de la zone… à cette distance, rien ne semble bouger 😉

Alors poursuivons par le plus spectaculaire, l’aménagement et le renforcement de la partie Ouest. Vu de haut, il est clairement visible que des structures nouvelles ont été installées. Il apparait aussi la partie technique grâce aux trous situés dans la parois.

Deux focus pour mieux comprendre en commençant par la visualisation des poutres « maîtresses » et de la hauteur à laquelle sera coulé le sol du niveau technique.

A l’extrémité Nord, apparaissent les locaux techniques électriques et téléphoniques avec leur porte d’accès. Ils devraient sans doute aussi accueillir une 3° poutre maîtresse. Enfin, un mur restera à couler, celui de la porte d’accès à ces 3 locaux.

En partant de la zone précédente et en se déplaçant vers l’Est, le chantier ressemble à un capharnaüm. Aussi, repérer ce qui a pu avancer n’est pas aisé. Pourtant, un mur est en construction sur la partie Nord, celui séparant les places de parking 3 et 4 de la place 5. En face, un mur bas est en train d’être coulé, tout à fait sous la dalle de l’Ibis.

Deux blocs de dalle ont été coulés pour le 1er niveau de sous-sol, 2 autres sont en préparation. Un bloc de dalle a été coulé pour le 2° niveau, elle enserre la grue. Aucun n’a été coulé pour le 3° niveau. Cependant une partie du remblais a été retiré.

Sur cette dernière zone, l’escalier d’accès aux sous-sols depuis les bâtiments A & B a été posé. La cage de l’ascenseur apparaît ainsi que la porte d’accès à cet ascenseur depuis le niveau 2 de sous-sol.

Plus à l’Est est débutée la construction du dernier pilier.

Enfin, concernant la rampe d’accès, le mur extérieur est à présent totalement continu vers l’Est et le Nord, mais aussi rattaché au niveau le plus bas. Reste à le prolonger vers le haut. C’est sans doute là que seront utilisés les éléments préfabriqués « réussis » 😉 Au centre de cette zone se trouve le faible volume de remblais encore à évacuer.

De nouveaux éléments apparaissent sur le chantier. D’un côté, des poutres de béton armé provenant sans doute d’une précédente installation sur la zone. Elles sont retirées. De l’autre une cuve en béton, très certainement un séparateur à hydrocarbure servant à éliminer les matières lourdes contenues dans les eaux usées.  Elle sera sans doute installée dans un local technique avant que celui-ci ne soit refermé par le haut.

Pour finir …

Je ne peux m’empêcher, après ce long article de partager avec vous ce beau ciel capturé au dessus du Parc Clichy-Batignolles.

Ciel chargé sur le Parc Clichy-Batignolles

Ciel chargé sur le Parc Clichy-Batignolles

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Point travaux / Semaine 15

L’actualité de la semaine est la certitude d’avoir atteint le 3° niveau de sous-sol.

A l’extrémité nord-ouest sont coulés des chemins de béton, à l’horizontal, indiquant clairement que le niveau inférieur de l’immeuble est atteint. Le 3° niveau de sous-sol sera au dessus ou à ce niveau du nouveau sol.

Un nouvel appareil, de fabrication de mur en béton armé, a été installé à la perpendiculaire du mur sud (cf. photo ci-dessus). Il s’agit plus que certainement du dernier pilier au fond à gauche du 3° niveau de sous-sol, comme visible sur le plan ci-dessous.

PARC17-SS03

Partant de cette zone ouest, le creusement de la fosse se poursuit dans le prolongement mais aussi, ici et là, contre le mur sud.

Sur le mur nord, les contours de l’escalier d’accès des bâtiments A & B se précisent (Cf. plan plus haut).

P1070271

Plus loin, à l’angle nord-est, ce sont les contours de la rampe d’accès dont la construction avance.

A l’angle sud-est, le chantier n’a pas bougé… si l’on excepte le fait que le sol au niveau de la rue ait été nettoyé 😉

P1070243

Pour finir, quelques vues du chantier d’est en ouest et d’ouest en est.

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Les autres projet de la zone E5

Après que Vinci Immobilier Résidentiel ait acquis le lot E5 de la ZAC Clichy-Batignolles, un appel à candidature a été lancé et quatre équipes ont été choisies pour avoir le droit de proposer un projet d’aménagement de la zone, autrement dit proposer l’immeuble qui s’érigerait sur ce lot E5 :

Comme indiqué dans ce communiqué, le lauréat de la consultation devait être désigné fin juin 2010 pour un démarrage des travaux prévu début 2012 et une livraison été 2013…

Sur Internet, il est encore possible de trouver quelques éléments des projets non retenus.

Je n’ai rien trouvé concernant la première agence. 🙁

Pour l’agence Koz Architecte, comme il est possible de le voir sur cette page, à la date du 02/07/2010, il s’agissait d’un immeuble intitulé Géant vert.

1_1_chalabre

Pour SOA Architectes, le projet était très arrondi. Deux documents permettent d’en avoir un aperçu, le premier très synthétique, le second plus détaillé.

SOA

Quant au dernier projet, celui de Francis Soler, vous le connaissez tous.

Un article est en préparation sur son architecte 😉

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Point travaux / Semaine 12

Pour débuter, une petite excuse, certaines photos sont jaunes… je ne sais pas ce que j’ai fait avec mon appareil 🙁

Le creusement se poursuit à l’angle sud-est sans que le mur soit prolongé vers l’arrière de l’immeuble, côté Ibis.

Sur le mur sud, le doublage atteint bientôt la partie en cours de creusement de l’angle sud-est.

Sur le mur nord, les éléments préfabriqués, remarqués la semaine dernière, sont installés pour fermer les espaces sous l’avancée de l’hôtel Ibis. Ils formeront certainement la base d’un des niveaux de sous-sol, le 2ème sans doute.

Sur le mur ouest, la destruction de la dalle se poursuit. Un trou a remplacé celle détruite la semaine dernière, du béton est coulé tout au fond.

Pour finir, 2 vues d’ensemble du chantier.

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Point travaux / Semaine 11

Cette semaine, il semblerait que le niveau du 3e parking de sous-sol soit atteint à l’angle sud-est, pour preuve des fers tordus sur la partie horizontale.
Quoiqu’il en soit, l’angle sud-est prend forme.

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Ce week-end, les avancées étaient très visibles.

Sur le mur sud, le doublage se poursuit.

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Ce week-end, séchage du mur.

Du coté de l’angle nord-ouest, la destruction de la dalle inutile est en cours, de même que le retrait des poutres métalliques.

Sur le mur nord, une base horizontale est en train d’être installée. Serait-ce les prémices du sol du 1er ou 2e niveau de parking ?

Enfin, et pour finir, des matériaux sont préfabriqués sur le chantier, des parties de poutre et de murs ou de coffrage.

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Point travaux / Semaine 9

Cette première semaine de décembre est celle de la première coulée de la dalle du 3° sous-sol. Nous touchons donc le fond 😉

Grâce à l’un des copropriétaires de Parc 17, les photos seront plus nombreuses mais aussi plus vivantes puisque prises pendant les heures de travail au cours de la semaine écoulée. Merci à lui pour cette contribution (et n’hésitez pas à faire de même…).

A ce moment-là, l’activité était intense à l’angle Sud-Est, à l’emplacement de la future rampe d’accès du parking souterrain.

Sur le Nord, un niveau de béton armé a élevé le mur et surtout, un petit morceau de dalle a été coulé.

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Sur le mur Ouest, l’escalier a été retiré et le mur renforcé d’une épaisseur de béton armé qui enferme le haut des contreforts. Seront-ils conservés ???

Enfin, sur les mur Sud, d’étranges structures ont été installées : escaliers ou élévateurs, lorsqu’elles sont à l’arrêt, on ne saurait dire.

Alors, avec toute cette activité, les fondations seront-elles achevées pour Noël ou la St Sylvestre, les paris sont lancés 😉

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Point travaux / Semaine 8

J’ai eu la chance de pouvoir venir observer le chantier vendredi, alors que les ouvriers s’activaient. Oui, l’activation est grande, tout avance en même temps.

De loin, la grue s’agitait et une bétonneuse déversait ses litres de béton.

Les chargements et déchargements se font à grande vitesse du mur Sud au mur Nord …

… et très bientôt sur le mur Sud-Est, du côté de l’entrée du parking de l’immeuble, le béton va couler. Les grilles de fer permettant d’armer le béton étaient en cours de positionnement.

Quant au coffrage, il était en cours de montage.

Enfin le petit escalier a été déplacé pour permettre l’accès à la fosse depuis le mur Sur-Ouest.

A l’extérieur, les travaux avancent aussi, notamment ceux du belvédère.

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Erection de notre grue !

Samedi 23 novembre au matin, un futur copropriétaire, abonné au blog, nous adressait une photo de ce qui ressemblait clairement à l’installation de la grue. Merci à lui 😉

Alors dès que possible, un saut sur place s’imposait !

Pas de doute, la grue était en cours de montage :

La petite visite dura finalement près de 2 heures et permit d’observer le montage. J’ai tenté les films mais ils ne donnent rien, entre chien et loup, ce n’était pas l’idéal, vous en serez donc épargnés.

La nuit tombait, le froid pénétrait alors je pensais que le chantier était fini pour la journée.

Dimanche, je constatais que non. L’équipe a dû terminer le montage à la nuit bien tombée car au matin, l’érection de la grue était finalisée. Le chantier totalement débarrassée des véhicules et appareils de levage. Il est vrai que la fermeture de la rue engendrée par l’installation doit avoir comme conséquence une pression pour un montage sur une seule journée !

La grue est donc une grue SOFRAL dont les caractéristiques figurent ci-dessous. Moi, cela ne me parle pas mais cela parlera peut-être à certains lecteurs du blog 😉

Pour finir, quelques photos bonus de cette grue qui constitue pour nous une grande avancée dans ces travaux, vous l’aurez compris 🙂

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