Archives de Tag: Parc 17

Point travaux / Semaine 26

Cette semaine, la fermeture supérieure des sous-sols s’est poursuivie ainsi que la construction du coeur de la rampe d’accès aux sous-sols pour les véhicules. La dalle supérieure au niveau du sol laisse apparaître l’entrée de Parc 17 pour les bâtiments A&B.

Pour débuter, un petit diaporama de la construction du coeur de la rampe d’accès aux sous-sols.

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En observant bien la dernière photo, les emplacements de l’ascenseur (à droite) et de l’escalier courbe (à gauche) se devinent. Au demeurant, l’escalier est arrivé sur le chantier.

Au niveau supérieur, à l’Ouest, les niveaux enterrés de Parc 17 se referment.

Apparaissent alors les accès des bâtiments ainsi que l’emplacement de premiers appartements. Ceux-ci sont rendus bien visibles par l’installation de gaines de plastique rouge qui serviront aux passages de câbles…

Plus au centre apparait l’entrée des bâtiments A & B.

Base du futur hall d’entrée des bâtiments A & B.

Pour finir,…

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Point travaux / Semaine 25

Le dernier morceau de dalle du 1er niveau de parkings a été coulé. Le coeur de la rampe d’accès aux sous-sols sort de terre. Les supports de la rampe sont implantés. Les murs de soutènement techniques progressent et le coulage de la dalle refermant l’ensemble des sous-sols de l’immeuble a été débuté cette semaine.

Pour débuter, la rampe : 3 jours séparent ces 2 photos de construction du coeur de la rampe d’accès voiture aux sous-sols de l’immeuble.

Autour de ce coeur, apparaissent ce qui doit être des bases de piliers de soutènement de la rampe.

Les autres accès intérieurs sont maintenant enfermés dans les dalles et murs support. Des escaliers ont été livrés pour les équiper.

La dernière partie de la dalle du 1er niveau de sous-sol a été achevée. Les 3 niveaux de sous-sol sont donc complets.

Les éléments techniques apparaissent : poutres maîtresses, préparation de passage de câbles et tuyaux, … Un doute subsiste sur un espace de belle hauteur sous plafond, au dessus du 1er niveau de parkings …

Du côté Ouest a débuté la fermeture des niveaux de sous-sols de l’immeuble, par le coulage de la dalle supérieure.

A l’extérieur du bâtiment apparaissent l’installation de bouches de collecte des ordures ménagères par pneumatique ainsi que des tuyaux d’arrivée de … sur le trottoir devant Parc 17.

Pour finir 😉

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Point travaux / Semaine 24

Cette semaine passée fut remarquable d’événements divers. Outre la rencontre avec Francis Soler, celle avec les copropriétaires disponibles, elle fut aussi celle de l’apparition du nom des entreprises qui vont intervenir dans la suite du chantier et de l’avancée de la partie centrale de la rampe d’accès aux sous-sols.

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Près des algécos qui accueillent les locaux du chantier a été posé un panneau indiquant les informations réglementaires des entreprises qui interviennent sur le chantier. Les choses se précisent pour la suite de la construction.

Du côté de la rampe d’accès, après le socle la semaine dernière, la base a été montée cette semaine.

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Coté Est, de nouveaux éléments de dalle ont été coulés. Il reste un tout petit morceau à couler pour que les 3 niveaux de sous-sols disposent de leur dalle 🙂

Cages d’escalier, d’ascenseur et autres murs de locaux progressent.

Des murs techniques de parpaings sont montés, des tuyaux plastiques (gaines) installés.

De haut, la progression est très visible. Le stade de fermeture de l’espace des sous-sols et de l’espace technique qui le couvre, est atteint. Côté Sud-Ouest apparaissent les préparations de coulage de la dalle supérieure de fermeture de la partie enterrée de l’immeuble. Bientôt la phase de la partie habitable…

Depuis le bâtiment voisin, les vues de haut sont toutes intéressantes et prometteuses 😉

Les vues depuis le sol, d’Est en Ouest et d’Ouest en Est, sont de moins en moins intéressantes…

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Francis Soler : « Chacun de mes bâtiments est une œuvre »

L’architecte de Parc 17 nous a reçu pour une interview exclusive.        Il nous a raconté la naissance du bâtiment, confié les contraintes du projet, révélé ses choix artistiques.

Un entretien passionnant avec le « père » de notre futur immeuble.

Francis Soler est un architecte renommé pour avoir réalisé des équipements publics et des immeubles d’habitation ambitieux. Il a reçu le Grand prix d’Architecture, en 1990. Il s’est distingué, par exemple, par son travail sur le Ministère de la Culture, rue des Bons-Enfants, avec sa résille d’acier. Autre réussite : son immeuble de logements sociaux, colorés de sérigraphies, rue Durkeim, près de la BNF, à Paris. Entre autres.

Quelle est la genèse de votre projet à Clichy-Batignolles ? 

C’est déjà une histoire ancienne pour moi. Un premier promoteur, autre que Vinci, m’avait interrogé car il voulait acquérir cette petite parcelle. La dimension de la parcelle, c’est la dimension du bâtiment. C’est très inhabituel. On a zéro espace autour, donc c’est assez compliqué. J’avais donc déjà fait une étude, un ou deux ans avant que Vinci ne s’y intéresse. Cette étude de définition permettait de voir comment on pouvait utiliser cette parcelle coincée entre le mur de l’hôtel Ibis et le parc. Avec les contraintes que la ville avait fixées, cela limitait la parcelle à 10-12 mètres d’épaisseur, ce qui, aujourd’hui, n’est pas très rentable car un bâtiment de logements se fait habituellement sur 14 mètres d’épaisseur.

Dans un bâtiment, il y a toujours les parties fixes. Il faut un escalier, un ascenseur, des gaines techniques, des gaines de montée, des gaines de ventilation… Maintenant, ces parties dites communes deviennent de plus en plus importantes à cause des règlements handicapés, de sécurité… Donc, ces parties techniques, ça prend de la place. La difficulté, c’est que la parcelle nous imposait un gabarit. En ce moment, je fais un projet sur le plateau de Saclay pour EDF. J’ai 8 hectares où je peux faire les formes que je veux, je peux monter, je peux descendre, je peux m’étaler… Avec Parc 17, j’avais une largeur, une longueur et une hauteur définies. A partir de là, une fois que vous avez mis les parties fixes, il reste ce qu’on appelle du « gras ». C’est ce que vend le promoteur. Et dans ce bâtiment, le gras est très faible.

Dessin Francis Soler – Premier projet Parc 17

Pour la petite histoire, le bâtiment, avec lequel on a gagné le concours, faisait 9 étages et non pas 11, comme aujourd’hui. Ce premier projet de bâtiment était extrêmement dense. C’était une barre pleine où il n’y avait pas de terrasses. Il n’y avait que des appartements autour de deux cages d’escalier. Il s’avère qu’après avoir gagné le concours, on a commencé à dialoguer avec la Ville. Les remarques d’Anne Hidalgo, c’était : « Je ne veux pas de barre. Ce bâtiment me rappelle trop mes jeunes années dans les banlieues. Trouvez-moi des éléments qui me permettent d’avoir de la transparence, de la fluidité, de l’espace… ». Moi, j’étais forcément d’accord, mais il fallait penser au promoteur qui devait équilibrer son budget avec un bâtiment tout fin. On est avec lui pour trouver un équilibre architectural confortable pour les habitants et en même temps le rendement du projet. Nous avons donc fait six ou sept propositions successives jusqu’à arriver à celle d’aujourd’hui avec des percées qui permettaient des transparences sur les loggias. Mais, du coup, on perdait des mètres carrés. Donc, tout ce que l’on avait perdu avec les terrasses, il a fallu le retrouver en faisant deux étages de plus. Il fallait retrouver un équilibre économique. Avec les terrasses, on augmentait les linéaires de façade. Un bâtiment en façade pleine, comme le premier projet, coûte moins cher qu’un bâtiment qui a des percées. C’est plus difficile à construire, à isoler… Surtout avec les contraintes énergétique de la Ville qui sont très draconiennes. Il faut être dans le HQE, dans le Plan Climat, c’est très compliqué à régler. Il nous a fallu deux ans pour régler tout cela et retrouver un équilibre économique.

Au final, je trouve que toute cette confrontation a été très utile. Cette « battle », comme on dit aujourd’hui, entre la Ville et Vinci a abouti à un équilibre, qui est le bâtiment que vous connaissez. Je préfère nettement ce bâtiment avec ces deux percées.

Une des particularités de ce bâtiment est qu’il va être beaucoup vu. Vous avez pris en compte ce regard des gens depuis le parc ?

C’est évident. Sur la façade Sud, on a choisi des éléments entièrement vitrés, ouverts sur le parc. Il y a une différenciation entre le bas et le haut. La partie haute est en relation avec le ciel avec des grands garde-corps en verre et la partie basse est plus complexe avec des garde-corps en tube inox et des éléments sérigraphiés. C’est pour une question de confidentialité. J’ai pris conscience que le bâtiment allait être vu du parc. Les quatre premiers niveaux sont plutôt planqués derrière les sérigraphies. Ainsi, les gens, dans ces étages inférieurs, vont pouvoir voir dehors sans qu’on les voit chez eux. Par contre, à partir du cinquième étage, le verre va refléter le ciel et vous ne verrez jamais dans les appartements. Plus vous monterez, plus le reflet masquera l’intérieur.

C’est tout un travail de mise en scène qui permet de maintenir la confidentialité des appartements bas par rapport au parc. Dans une rue, je n’aurais pas fait ça. Par rapport au haut, on essaie de rendre le bâtiment plus évanescent avec des garde-corps vitrés, purs.

Le travail à l’arrière du bâtiment est plus opaque, car la relation à l’hôtel Ibis n’est pas formidable. Les fenêtres sont plus fermées pour que les clients de l’hôtel ne puissent pas voir dans les appartements et que, dans l’appartement, on ne voit pas l’hôtel.

La sérigraphie en façade, c’est quelque chose que vous avez déjà utilisé dans les immeubles d’habitation de la rue Durkeim, face à la BNF, et allée Paul Signac, à Clichy. Pourquoi aimez-vous mettre des sérigraphies sur les surfaces vitrées ?

Vous savez, je suis un Méditerranéen. J’aime bien avoir un maximum de lumière et, en même temps, je ne souhaite pas être vu dans mon intimité. Voir sans être vu, c’est toujours le problème dans le Sud. Donc, le moucharabié moderne, c’est la sérigraphie. D’abord, parce que cela teinte le sol, les éléments. Cela permet d’être chez vous, de voir dehors, sans être vu. Et puis, cela permet de raconter une histoire. Les bâtiments ont toujours été des supports à conter des choses, à raconter des histoires.

Immeuble d’habitations avec sérigraphies, rue Durkeim, Paris 13

Vous avez dit qu’un bâtiment doit être « beau et avoir du sens », l’utilisation de la sérigraphie, c’est dans cette logique ?

Oui, on n’est pas dans la banalisation de l’ouvrage. Moi, je ne suis pas un architecte qui construit énormément. Je construis peu de choses, mais j’essaie de les faire bien. A chaque fois, ce sont de petites œuvres. Je dis souvent qu’un bâtiment cesse d’être un ouvrage pour devenir une œuvre à partir du moment où il cesse d’appartenir à son auteur pour appartenir à ceux qui le prennent en main. C’est ainsi que j’ai conçu le ministère de la Culture avec la résille métallique sur sa façade à Paris. La rue Durkeim, c’est la même chose. 95%, voire 100% des habitants à qui on a demandé s’ils souhaitaient que l’on retire la sérigraphie ont répondu non. Car ils considèrent que cela leur appartient, que cela fait partie de leur chez eux. Il y a une identification, une appropriation importante alors qu’au début j’ai été traité de fasciste, de communiste, car j’imposais ma vision aux gens. Je leur expliquais que c’était des émaux transparents, des images. Les personnes mettent biens des petits rideaux à Vichy chez eux. Ce que je veux moi, c’est homogénéiser les petits rideaux à Vichy en leur donnant un sens. Cela a été difficile à faire passer. Maintenant, c’est dans la culture des gens. Tout le monde met des résilles partout. Tout le monde met de la sérigraphie partout. Il faut du temps, c’est tout.

Mon idée à l’origine était de mettre en option les deux garde-corps, sérigraphiés ou transparents. Le bâtiment aurait été dessiné par les acquéreurs. L’œuvre serait devenue collective, complètement aléatoire. Mais, pour la commercialisation, c’était trop compliqué.

Vos choix artistiques ont-ils été compris par le promoteur ?

Le promoteur aurait peut-être préféré qu’il n’y ait pas de sérigraphies du tout, car ça peut être une contrainte à la vente. Vinci s’inscrit, aujourd’hui, dans les promoteurs à la fois prudents et contemporains. Ils font travailler des architectes renommés comme Dominique Perrault, Anne Demians, la star du moment (c’est elle qui fait le bâtiment de bureaux en forme de TGV près de Pereire 17), Stéphane Maupin, un jeune architecte talentueux qui fait Pereire 17. Ils font aussi travailler Bocabeille Prego sur Cardinet 17.

Ils ont donc cette envie d’architecture contemporaine, mais ils peuvent se faire rattraper par des préoccupations commerciales, la peur que les clients ne veulent pas des sérigraphies et les fassent enlever. Dans le privé, ils essaient de se mettre dans la tête des gens qu’ils pensent être intéressés.

Comment intervenez-vous une fois que le chantier a débuté ?

Depuis que le chantier a démarré, nous le suivons de près avec mon équipe. Nous sommes en contact avec les entreprises qui ont des dossiers très précis qui couvrent tous les sujets. Sur place, il y a un conducteur d’opérations, un ingénieur centralien, plus d’autres experts. Nous avons la mission complète : étude, suivi de travaux et livraison. Ce qui devient de plus en plus rare, car les promoteurs dans le privé ont parfois tendance à prendre des architectes pour dessiner les projets et à les éjecter ensuite pour la construction.

Nous, on cherche à donner aux acquéreurs la chose la plus près possible de ce que l’on a proposé, de ce que l’on a dessiné. Comme, dans notre agence, nous sommes très techniques, nous pouvons aller jusqu’au bout.

Quel regard portez-vous sur la ZAC ? Sur l’aménagement et les bâtiments ?

Moi, je trouve ça bien. C’est moderne, aéré. On est dans un urbanisme proche de celui qu’a fait Jean-Pierre Buffi le long du parc de Bercy et qui est une grande réussite à Paris. Ce sera la même ambiance, particulièrement du côté Nord de la ZAC où se trouvera Parc 17. Par contre, du côté Sud, entre le parc et les voies ferrées, il va manquer d’aération et d’espace entre les bâtiments. Cela risque de faire un peu « foire expo »…

Comment voyez-vous l’arrivée de la Cité judiciaire avec le bâtiment signé Renzo Piano ?

C’est très bien. Avoir un équipement de cette envergure, près de chez soi, c’est un élément majeur. De plus, avec Renzo Piano, on est dans la même écriture, dans la même famille de pensée, dans la même modernité, un peu sensible, subtile, travaillée. Ce n’est pas seulement de la baie vitrée. Il y a tout un travail sur les épaisseurs et la perception. Renzo Piano est l’un des architectes que je regardais le plus dans les années 80. C’est à la fois un technicien et un sensible. Ça se voit, par exemple, avec le Centre culturel Jean-Marie Tjibaou, qu’il a fait à Nouméa.

Il y aura une cohérence, un dialogue, entre Parc 17 et la Cité judiciaire de Renzo Piano, même si son projet est postérieur au mien. Entre les deux, il y aura un autre bâtiment dans le même esprit, celui Manuel Gausa, un architecte espagnol, un ami à moi, qui va faire les immeubles de logements pour la Cogedim, à l’Ouest, juste à côté de Parc 17.

Nous remercions chaleureusement M. Francis Soler de nous avoir accordé du temps pour répondre à nos interrogations. Il s’est montré d’une grande disponibilité pour nous confier ses desseins pour Parc 17. Nous espérons que d’autres rencontres avec lui et son équipe nous permettront d’accompagner, en connaissance de cause, la sortie de terre du bâtiment.

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Point travaux / Semaine 23

Au cours de la semaine passée, l’événement marquant est la préparation de l’installation des murs du coeur technique de la rampe d’accès aux sous-sols. Les murs des locaux techniques du 1er niveau de sous-sol se montent. La dalle du rez-de-chaussée a progressé de 2 blocs supplémentaires et atteint le niveau de la rampe d’accès, celles des niveaux 1 et 2 ont progressé d’un bloc et un deuxième est dans les 2 cas en préparation.

Pour débuter, le plus marquant donc, la coulée de la chape qui soutiendra la partie centrale de la rampe d’accès aux sous-sols de parkings. C’est au coeur de cette partie que sera installé l’escalier hélicoïdal et l’ascenseur permettant l’accès depuis le rez-de-chaussée du bâtiment C.

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Au 1er niveau de sous-sol, les murs se montent, faisant apparaître de plus en plus de locaux techniques.

Piliers, cage d’escalier, cage d’ascenseur se construisent toujours… heureusement 😉

Les dalles progressent à tous les niveaux de sous-sol : 2 blocs pour le 3° niveau, 1 bloc pour les 1er et 2° mais aussi 1 en préparation pour ces 2 derniers niveaux.

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Pour finir…

Et bientôt au bout de cette perspective apparaîtra Parc 17 😉

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Premier objectif atteint :-)

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Lors des voeux pour la nouvelle année, nous évoquions le fait que nous lancerions une première rencontre d’abonnés au blog, copropriétaires, dès qu’ils seraient 20. Et bien, j’ai le plaisir de vous écrire que ça y est, l’objectif est atteint et même dépassé 🙂

Aussi, un mail partira très prochainement aux personnes concernées pour leur proposer date, heure et lieu d’une première rencontre.

Pour ceux qui ne pourront pas, d’autres rendez-vous viendront, surtout si d’autres copropriétaires s’abonnent au blog 😉

Pour célébrer cela, une brassée de fleurs 🙂

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Point travaux / Semaine 22

La fosse dans laquelle va s’installer Parc 17, se remplit fortement… Vu de haut, l’impression ressentie est qu’elle ne va pas tarder à être remplie à ras bord 😉 En effet, un nouveau bloc de dalle a été coulé pour le 3° sous-sol, 2 pour le 1er, un autre en cours de préparation toujours pour le 1er niveau. Enfin, les murs des espaces techniques se montent à l’Ouest.

Commençons par le plus spectaculaire, la construction des murs des locaux techniques sur le 1er niveau de sous-sol ainsi que les poutres maîtresse (4).

En poursuivant vers l’Est, murs et poutres sont en construction.

2 blocs de dalle du 1er niveau de sous-sol ont été coulés cette semaine. Un autre a été préparé, celui qui enserre le pied de la grue. Enfin, un bloc de dalle du 3° niveau de parkings a aussi été coulé.

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Dans l’avant-dernier bloc de dalle du 3° niveau de parkings (non encore coulé) a été installée le séparateur à hydrocarbure (cuve avec 3 bacs), plus loin vers l’Ouest apparaît une sortie de tuyau…

L’escalier et la zone d’accueil de l’ascenseur pour desservir les bâtiments A & B évoluent aussi, évidemment.

Quant au mur de la rampe d’accès, il est de plus en plus dégagé. Seul reste un tas de remblais dans cette zone.

Pour terminer, le chantier d’Est en Ouest et d’Ouest en Est… pour cette dernière, du niveau du sol, on distingue de moins en moins de choses puisque la fosse se remplit 🙂

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Point travaux / Semaine 21

Cela avance très sérieusement du côté ouest du bâtiment cette semaine. Les locaux présupposés apparaissent clairement, de même que le niveau technique. La construction de grosses poutres de béton armé visant la consolidation de l’immeuble est en cours. Du côté Est du bâtiment, le mur extérieur de la rampe est relié aux 2 parties, est et nord. Il ne reste vraiment beaucoup plus de remblais à évacuer… c’est sans doute pour cela que le tractopelle vert a été évacué du chantier.

Pour débuter, une vision lointaine de la zone… à cette distance, rien ne semble bouger 😉

Alors poursuivons par le plus spectaculaire, l’aménagement et le renforcement de la partie Ouest. Vu de haut, il est clairement visible que des structures nouvelles ont été installées. Il apparait aussi la partie technique grâce aux trous situés dans la parois.

Deux focus pour mieux comprendre en commençant par la visualisation des poutres « maîtresses » et de la hauteur à laquelle sera coulé le sol du niveau technique.

A l’extrémité Nord, apparaissent les locaux techniques électriques et téléphoniques avec leur porte d’accès. Ils devraient sans doute aussi accueillir une 3° poutre maîtresse. Enfin, un mur restera à couler, celui de la porte d’accès à ces 3 locaux.

En partant de la zone précédente et en se déplaçant vers l’Est, le chantier ressemble à un capharnaüm. Aussi, repérer ce qui a pu avancer n’est pas aisé. Pourtant, un mur est en construction sur la partie Nord, celui séparant les places de parking 3 et 4 de la place 5. En face, un mur bas est en train d’être coulé, tout à fait sous la dalle de l’Ibis.

Deux blocs de dalle ont été coulés pour le 1er niveau de sous-sol, 2 autres sont en préparation. Un bloc de dalle a été coulé pour le 2° niveau, elle enserre la grue. Aucun n’a été coulé pour le 3° niveau. Cependant une partie du remblais a été retiré.

Sur cette dernière zone, l’escalier d’accès aux sous-sols depuis les bâtiments A & B a été posé. La cage de l’ascenseur apparaît ainsi que la porte d’accès à cet ascenseur depuis le niveau 2 de sous-sol.

Plus à l’Est est débutée la construction du dernier pilier.

Enfin, concernant la rampe d’accès, le mur extérieur est à présent totalement continu vers l’Est et le Nord, mais aussi rattaché au niveau le plus bas. Reste à le prolonger vers le haut. C’est sans doute là que seront utilisés les éléments préfabriqués « réussis » 😉 Au centre de cette zone se trouve le faible volume de remblais encore à évacuer.

De nouveaux éléments apparaissent sur le chantier. D’un côté, des poutres de béton armé provenant sans doute d’une précédente installation sur la zone. Elles sont retirées. De l’autre une cuve en béton, très certainement un séparateur à hydrocarbure servant à éliminer les matières lourdes contenues dans les eaux usées.  Elle sera sans doute installée dans un local technique avant que celui-ci ne soit refermé par le haut.

Pour finir …

Je ne peux m’empêcher, après ce long article de partager avec vous ce beau ciel capturé au dessus du Parc Clichy-Batignolles.

Ciel chargé sur le Parc Clichy-Batignolles

Ciel chargé sur le Parc Clichy-Batignolles

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Point travaux / Semaine 20

Cette semaine passée est marquée par la construction de murs pour les locaux techniques du 1er niveau de sous-sol mais aussi du coulage d’1 bloc de la dalle du 3° sous-sol, de 2 blocs de celle du 2° sous-sol et de la préparation du coulage de 2 blocs pour le 1er niveau de sous-sol. Côté rampe d’accès, ça creuse et ça coule pour atteindre le niveau le plus bas. Enfin, il ne reste plus beaucoup de remblais à évacuer.

Commençons par la rampe d’accès. Contrairement à ce que j’indiquais la semaine passée, ce ne sont pas les éléments préfabriqués qui sont installés sur la partie basse mais cette partie fait l’objet d’un coulage de béton armé. Il s’agit bien de la partie la plus basse qui est en cours de réalisation, jusqu’au niveau -3 des sous-sols. Concernant les éléments préfabriqués, courbes, toujours présents sur le site, soit ils seront placés au dessus de ce qui existe aujourd’hui, soit ils serviront pour construire le coeur de la rampe, celui qui accueillera l’escalier et l’ascenseur pour le bâtiment C. A priori nous devrions le découvrir dans peu de temps 😉

Dans la zone de cette future rampe, l’évacuation du remblais se poursuit et l’installation des structures d’accueil du 8° pilier est en cours.

Du côté du coulage des dalles des 3 niveaux, 1 bloc a été coulé au 3° sous-sol, il enserre le pied de la grue. Deux blocs ont été coulés de la dalle du 2° niveau de sous-sol mais concernant la dalle du 1er niveau, seule l’installation des éléments permettant le coulage de 2 blocs a été débutée.

Des escaliers préfabriqués se trouvent sur le chantier. Leur emplacement se devine dans la dalle du 2° niveau de sous-sol. De même l’emplacement de l’ascenseur est très visible, protégé par des tasseaux de bois.

A l’extrémité ouest a été monté un mur de séparation perpendiculairement à la longueur de l’immeuble mais aussi un mur au nord fermant la zone (d’ouest en est). Cet espace est aujourd’hui rempli des outils servant à couler les murs puisque plusieurs doivent être coulés afin de créer les locaux techniques (CPCU, téléphonique, électrique) comme l’indique le plan du niveau -1 de l’immeuble. Enfin, il est à remarquer que le mur monté contre la paroi sud (vers la forge) atteint le niveau de la rue. Ce faisant, sa hauteur dépasse largement celle des niveaux de parkings inférieurs. La raison en est simple, la totalité de ce niveau ne sera pas consacrée au parking. Une chape viendra créer un espace technique au-dessus du 1er niveau de sous-sol de parking. Cet étage technique accueillera les tuyaux d’arrivée d’eau, d’évacuation des eaux usées, d’évacuation pneumatique des déchets, du système de ventilation, …

Pour terminer…

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Point travaux / Semaine 19

Malgré le mauvais temps, les travaux ont bien avancé cette semaine sur le chantier. Les points forts à noter sont la dalle du 1er niveau de sous-sol, l’apparition de la zone d’accueil de l’ascenseur du bâtiment A & B, la construction d’un mur de délimitation de la rampe d’accès de l’ascenseur côté Sud.

Comme je l’avais supposé la semaine dernière, il a été procédé cette semaine au coulage de 2 blocs du 1er niveau de sous-sol, côté ouest. En regardant le chantier d’est en ouest, les 3 niveaux de sous-sols sont parfaitement visibles.

En observant plus en détail le sol du 1er niveau apparaissent les emplacements des murs qui délimiteront les locaux techniques : local CPCU au sud-ouest, locaux électriques et téléphonique au nord-ouest.

En poursuivant vers l’est, apparaît la dernière partie de la dalle du 3ème niveau de sous-sol coulée dans la semaine, entre les piliers 5 et 6. À l’extrémité nord de cette dalle se trouvent l’escalier desservant les bâtiments A & B (à gauche) mais aussi la partie qui accueillera l’ascenseur (à droite) avec son couloir de sortie vers les parkings (à gauche en sortant de l’ascenseur). M’avez-vous suivi ? 😉

À l’extérieur, livré cette semaine, se trouve un premier élément d’escalier. Peut-être sera-t-il justement installé à l’emplacement précédemment indiqué !

Du côté de la rampe d’accès, l’évacuation du remblais se poursuit, en particulier sous la partie du mur courbe en place. L’évacuation permet l’installation des éléments courbes préfabriqués, remarqués lors des dernières semaines, pour atteindre le 3ème niveau de sous-sol à cet emplacement.

Enfin, un mur en béton armé est monté à la perpendiculaire du mur sud. Il sépare la zone de la rampe de la zone des parkings.

Pour finir…

Et un grand merci au photographe de cette semaine 🙂

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