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Pour Vinci, le planning est quasiment respecté

Ce samedi matin, la pluie, le ciel gris, le froid ne m’ont pas incité à sortir pour faire des photos qui auraient été bien sombres et peu valorisantes pour Parc 17 😉 Ce sera pour demain. Cependant ne soyez pas déçus, pour vous faire patienter, voici un compte-rendu de l’échange que j’ai eu hier avec John-David FERNANDES, Directeur des Programmes de Vinci, chargé de Parc 17.

 

  • Gros œuvre achevé

La première information d’importance est que le gros œuvre est achevé depuis une semaine. La mise hors d’eau est programmée pour la fin de semaine prochaine (fin février). Viendra enfin la mise hors d’air par la pose des fenêtres et portes-fenêtres … mais je n’ai pas noté quand :-(.

La pose des précadres est achevée (a priori à une porte-fenêtre près) sur les 3 façades pour lesquelles il y a des balcons et surtout des fenêtres jusqu’au sol. En effet, la pose des précadres est nécessaire en amont du coulage des chapes.

Du monde à tous les étages

Du monde à tous les étages 😉

  • Cloisonnement bien avancé

A l’intérieur du bâtiment, le cloisonnement est en cours. Il est achevé ou a débuté jusqu’au R+9. La réalisation des enduits a débuté dans les étages inférieurs, ensuite viendra celle des chapes (2° semaine de mars). La menuiserie sera concomitante puis la plomberie, les carrelages, peintures…

  • Bardage en préparation

La pose des premières pattes de fixation du bardage a débuté sur les façades Est, Sud et Ouest, celles avec balcons ainsi que sur les murs donnant sur les failles (terrasses).

Sans titre

Installation des pattes de fixation du bardage

Pour la façade arrière, son équipement débutera le 9 mars par l’installation d’un échafaudage sur toute la façade, toute hauteur. Il permettra la pose des précadres, des pattes de fixation du bardage, des fenêtres, du bardage lui-même, des plaques sérigraphiées, ….

  • Garde-corps

Le Département Communication de Vinci Immobilier a repéré le débat autour des garde-corps sur le blog suite à l’article du 15 février. La question est remontée au Directeur des Programmes qui m’indique que finalement Vinci a décidé de respecter le projet initial en conservant le caractère rabattable du haut des garde-corps vitrés. Cependant, comme aucun système n’a été trouvé pour freiner l’ouverture de ces parties rabattables, il a été décidé de livrer les appartements avec les parties rabattables fixes, bloquées par des boulons/écrous qui pourront être retirés par les copropriétaires.

  • Avancement général du chantier

L’avancement général du chantier est aujourd’hui en phase avec le retroplanning voire légèrement en retard :-(. John-David FERNANDES explique cela par les intempéries des derniers mois. Il m’indique que concrètement les jours d’intempéries ne se traduisent pas forcément par un arrêt total du chantier mais par un ralentissement important de certaines activités sur le chantier. Aujourd’hui le chantier Parc 17 comptabiliserait 42 jours d’intempéries (ouvrés => environ 2 mois). Le Directeur des Programmes de Vinci m’a précisé qu’ils ne seront pas nécessairement activés pour justifier d’un retard de livraison mais que le risque existait. Pour info, Pereire 17 a comptabilisé 93 jours d’intempéries et un retard de livraison de plusieurs mois :-(. Un courrier va nous parvenir sous peu pour préciser tout cela.

  • Une prévision de livraison ?

L’élément rassurant est que les travaux actuellement à réaliser et ceux jusqu’à la livraison sont peu impactés par des jours déclarés d’intempérie. En tout état de cause, aujourd’hui, la livraison reste envisagée fin 2015. Le risque d’un report sur le début de l’année 2016 n’est cependant pas à exclure…

A ma question : « à quel moment saura-t-on avec la plus grande certitude la date / période de la livraison ? », la réponse fut : « environ 6 mois avant, c’est-à-dire vous concernant en juin-juillet 2015. »

  • Visites

Je vous ai déjà évoqué dans différents articles l’appartement témoin, un duplex Rez-de-Chaussée/1er étage. Il sera finalisé, début mars. Cependant, il n’est pas destiné aux visites des copropriétaires. Il s’agit d’un outil technique qui sert aux ouvriers.

Les copropriétaires bénéficieront eux de 3 visites c’est-à-dire une de plus que dans les VEFA habituelles. Elles se détaillent ainsi :

  1. Visite cloison                                                             —>     Fin avril/début mai
    A ce moment-là, les cloisons de tous les appartements seront posées. Toutefois, tous ne seront pas au même stade de construction. Certains seront plus avancés que d’autres. Ainsi certains auront leurs carrelages posés et les enduits faits, d’autres auront uniquement la chape coulée.
  2. Visite intermédiaire                                                 —>     Septembre
    Elle aura lieu quelques mois avant la livraison. Cette visite est souvent réclamée par les propriétaires mais n’était pas prévue contractuellement. Lorsque demandée, il arrivait souvent qu’elle soit accordée aux copropriétaires. Aussi Vinci a décidé d’en formaliser son organisation afin de la limiter sur une période donnée.
  3. Réception                                                                    —>     …
    Un mois avant la livraison, la remise des clés mais comme indiqué plus haut, il est trop tôt pour que la date soit communiquée avec certitude.
  • Grue

Toute dernière information, pour ceux qui seraient intéressés, le démontage de la grue est programmé le 23 mars.

 

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Choix des matériaux : le casse-tête !

Imaginer la décoration de son appartement, 14 mois avant d’y entrer, n‘est pas chose facile. Choisir son parquet, son carrelage, ses meubles de salle de bain pour un espace encore virtuel, c’est un vrai défi. Nous l’avons relever, il y a quelques semaines ! Non sans mal… C’est ça aussi la particularité d’un achat en VEFA.

Cette étape, a priori excitante, du choix des matériaux, s’est transformée en épreuve pour de nombreux copropriétaires. Nous avons recueilli plusieurs témoignages de déception face aux propositions limitées et à l’absence de réel conseil au moment du choix.

Plutôt que de parler à la place des autres, nous allons vous raconter notre expérience.

 

Si, initialement, il nous avait été indiqué que nous aurions à choisir les matériaux et mobiliers en mars-avril 2015, finalement nous avons été invités (convoqués ?) à le faire entre le 27 octobre et le 7 novembre 2014. Pourquoi une telle urgence ? Aucune idée…

Ainsi, la première semaine de novembre, nous avions rendez-vous au showroom de Vinci pour y choisir les matériaux et mobiliers qui équiperont notre appartement. Nous étions à l’heure et sommes restés un peu plus d’une heure.

Heureusement, nous étions accompagnés d’une architecte, dans le cadre d’un contrat d’assistance maître d’ouvrage, car on ne peut pas dire que le conseil fut, sur place, des plus intenses. Notre hôte-conseiller était un peu jeune, peu impliqué.

Pour débuter, l’atmosphère était glaciale. Pas celle qui régnait entre nous, heureusement, mais la température du showroom. On se serait cru à l’extérieur :-(. Peut-être était-ce un moyen pour nous faire accélérer le pas ? Dommage, cela n’a rien changé pour nous, nous avons pris le temps de comparer et de réfléchir ;-).

Nous avons débuté par le choix du parquet. Les premières questions sont restées sans réponse : le parquet proposé étant uniquement du monolame et non pas du parquet massif, nous demandions l’épaisseur de la partie noble. Notre conseiller ne savait pas 🙁 Nous demandions alors à voir la tranche du parquet mais comme tous les parquets étaient présentés par plaque de 1,5 m2, entourée d’une baguette de bois, impossible de voir quoi que ce soit !

Nous avions décidé que si le parquet contrecollé ne nous plaisait pas, nous opterions pour un parquet massif (avec surcoût). Lors d’une de nos précédentes visites du showroom, il y en avait. Notre demande provoqua un étonnement voire un embarras chez notre conseiller : « Non, il n’y en a pas ici ou alors, je ne sais pas où ! »

Comment donc pouvoir comparer ???

Nous avons donc dû choisir dans ce qui se trouvait dans le showroom…

Renseignement pris sur le site de la Compagnie française du parquet, la partie noble des parquets monolame fait 3,5 mm d’épaisseur ce qui autorise si besoin, 1 à 2 ponçages.

Vint ensuite le choix du carrelage de la cuisine. Evidemment nous avions découvert les propositions à travers un document papier sur lequel des photographies des carrelages figuraient. Elles n’étaient pas de qualité et nous espérions être agréablement surpris au showroom. Franchement, ce ne fut pas le cas. Le choix était plutôt limité et pas vraiment dans nos goûts. De plus, l’éclairage est tel que se rendre réellement compte des couleurs, des reflets, des matériaux ne fut pas une chose aisée. Nous n’avons eu de cesse de faire allumer et éteindre les luminaires du showroom pour bien nous rendre compte des effets de la lumière en terme de reflets, de nuances… !

Lors de nos réflexions, pour préparer ce rendez-vous, nous avions envisagé d’aller chercher du carrelage et nous étions rendu dans le showroom de la Marbrerie des Yvelines à Versailles. Finalement, pour des raisons de facilité, nous nous sommes décidés à choisir ce que nous trouvions le plus acceptable … ou le moins pire. Nous jouerons l’originalité dans les meubles de la cuisine et sa crédence 😉

Puisque nous étions dans le rayon des carrelages, nous avons donc choisi celui de la salle d’eau… Nous étaient proposés 10 harmonies, c’est-à-dire 10 assemblages de carrelages pour le sol, pour la frise et pour les murs. Là-encore certains choix n’étaient pas très heureux et il manquait certaines teintes qui auraient permis de proposer véritablement une grande diversité harmonieuse et moderne. Là-encore, c’est par défaut, par élimination que nous avons arrêté notre choix. Il n’y a pas eu de véritable coup de cœur.

Déplacement de la plaque de parquet auprès des carrelages pour améliorer le choix…

Quant à la question de la pose… Pas de réponse de notre conseiller sur ce qui était possible et impossible. La question était : tous les murs doivent-ils nécessairement être carrelés ? Nous verrons donc avec le responsable du programme Parc 17.

Enfin, vint le temps du choix du meuble et miroir de la salle d’eau… Deux collections de Jacob Delafon étaient proposées (Rêve et Odéon Up), mais seulement 2 modèles de vasque/meuble étaient exposés 🙁 Lors d’un de nos précédents rendez-vous au showroom, il nous avait été indiqué que le choix se ferait dans la collection. Nous avions vu donc un modèle de la gamme qui nous plaisait alors nous sommes allés le chercher sur Internet. Ce faisant, nous nous sommes aperçus que notre plan de salle d’eau n’était pas juste 🙁 Il a donc fallu en urgence adresser une dernière demande de TMA ! Nous étions très proches de la construction de notre étage mais les équipes de Vinci ont été très compréhensives et réactives, et nous avons pu obtenir ce que nous souhaitions. Merci !

Quant au choix du miroir, il y en avait un très grand nombre dans le showroom mais seulement 2 modèles concernaient Parc 17. Dommage, d’autres étaient plus grands, plus jolis et peut-être mieux équipés en terme d’éclairage. Cependant sur ce dernier point, impossible de le dire, lorsque nous demandâmes d’allumer l’éclairage du miroir, il nous fut répondu… que les miroirs n’étaient pas branchés !!! Quel service ! Si le showroom ne permet pas de tout voir… comment se rendre réellement compte de ce qu’est le produit ? Cela viendrait-il à l’idée d’un magasin de vente de tels produits de ne pas en montrer tous les aspects, toutes les modalités de fonctionnement ? Au final, à choix limité, décision rapide 😉

Je suis assez rarement critique et négatif dans le blog, vous en conviendrez, mais là, franchement, l’accueil au showroom et les choix proposés n’ont pas été pour nous à la hauteur du programme Parc 17. Pas vraiment du luxe comme me l’ont dit certains copropriétaires. Toujours présenté dans les outils promotionnels de Vinci Immobilier comme des appartements de prestige, Parc 17 devait nous réserver l’excellence car le top des programmes de Vinci Immobilier. Pour ce faire, nous espérons à présent que les finitions et TMA seront conformes à nos attentes 😉 !

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Point travaux / Semaine 58

En cette 58° semaine de travaux, les premiers murs du 9° étage ont été coulés. Peu d’autres choses visibles, l’évolution doit se faire à présent dans le bâtiment…

  • Vues de haut

Parc 17, Vue générale du chantier, 15 novembre 2014

Que peut-on « observer » cette semaine ?

Côté bâtiment A, les premiers murs du 9° étage ont été coulés. Ils sont encore enserrés dans les façonneurs.

Côté bâtiment B, le coulage de la dalle du 9° étage est en préparation. Les fers à béton ont été placés, de même que les câbles électriques et gaines.

Côté bâtiment C, l’ensemble des murs du 8° étage a été coulé.

Quelques vues à l’horizontale des étages en cours de construction :

  •  Vues d’en bas

Enfin, quelques vues de l’arrière de l’immeuble.

Pour terminer ce post, un échange avec le Directeur des programmes de Vinci Immobilier m’a appris que, pour le moment, le chantier respecte le calendrier prévisionnel (à quelque chose près mais non conséquent) 🙂 … mais il reste encore un hiver à passer 😉

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Visite privée du chantier

Jeudi 16 octobre, j’ai eu la chance de pouvoir visiter pour vous le chantier de Parc 17 grâce au Directeur de programmes de Vinci Immobilier qui a en charge Parc 17. Pendant un peu plus d’une heure, nous avons parcouru le chantier et échangé, notamment autour du prototype de façade, sur les évolutions et travaux à venir. Vous en trouverez ici les principaux éléments.

  • Prototype de façade

Vous le savez, le prototype de façade sert à tester les futures installations, montrer aux ouvriers les poses, l’attendu et donc aussi à modifier certains projets.

Il en va ainsi des sérigraphies sur les verres des gardes corps. Lors de notre dernière rencontre de copropriétaires, tous indiquaient les trouver trop opaques et ne correspondant pas à la promotion qui en était faite : « voir sans être vu ». Vinci en convient, elles sont trop opaques, elles ne correspondent pas au projet initial de Francis SOLER. Aussi elles vont évoluer. Elles seront considérablement éclaircies pour véritablement laisser passer la lumière.

Face avant

Face avant

 

De plus, afin d’alléger la sérigraphie, la séparation qui existe sur le projet ici installé au niveau de chaque verre, devrait être supprimée. Ainsi, la photo ci-dessus ne devrait au final ne laisser apparaître que 2 plaques de verre sérigraphies et non 2 plaques de verre coupées en 2.

Les sérigraphies des murs seront identiques à celles des verres mais en nuance de gris, comme une projection (conforme à ce que souhaitait Francis SOLER).

Les sérigraphies murales figureront sur le 1,25 m inférieur de mur, à chaque étage du bâtiment, qu’il y ait ou non des sérigraphies sur le verre et ceci pour le mur de façade Sud comme les murs pignon. Le mur de façade Nord sera, lui, entièrement recouvert d’une grande fresque sérigraphiée.

Enfin, dans la même logique d’allègement, d’aération, 3 (ou 4 ?) tubes de ce garde corps devraient être ôtés. Le 1er en haut resterait, les 3 (ou 4 ?) suivants disparaitraient. Ceux du dessous resteraient.

Parquet et gouttière

Quant aux autres gardes corps, ils devraient aussi évoluer. Les parties supérieures mobiles de ces gardes corps uniquement vitrées devraient rester mais ne seraient plus mobiles. Vinci les a jugées trop dangereuses à l’ouverture.

Autre évolution, celle des séparateurs de balcon. Ils ne devraient pas être aussi haut que celui présenté sur le prototype. Ils feraient plutôt 2 m que 2,5 m pour alléger la vue. Le verre (matériau) sera modifié. Il sera pincé et fixé latéralement et non sur la hauteur comme celui du prototype.

Les gouttières ne seront installées que dans les failles, c’est-à-dire au niveau des terrasses entre les bâtiments. Ces terrasses sont étanches et un système de collecte des eaux y est installé, permettant l’installation de ces gouttières. Elles seront un peu plus foncées que celles aujourd’hui placées sur le prototype et surtout ne changeront pas avec le temps (oxydation 0).

Les poignées des portes fenêtres aujourd’hui noires seront modifiées. Elles devraient être finalement en aluminium brossé, dans le même style que les d’accroche des panneaux entre eux lors de l’ouverture des baies vitrées.

L’isolation des bâtiments entre eux à l’horizontale se fait par le sol, évidemment, grâce aux éléments suivants : dalle en béton de 20 cm d’épaisseur, un assour (sous-couche acoustique) puis une chape de 4 cm. Le parquet ou le carrelage viendra sur cette dernière chape.

L’isolation extérieure est réalisée par de la laine de verre, 2 épaisseurs pour atteindre 20 cm.

  • Bâtiment

Actuellement, les travaux respectent le plan prévisionnel de la construction, à quelques jours près. En tout état de cause, il n’y aurait pas (encore) de retard conséquent malgré quelques jours d’arrêt du chantier pour intempéries comme le 7 octobre dernier.

Jeudi dernier, le coulage de la dalle du 7° étage était en cours de finition. Une fois qu’elle sera entièrement coulée, elle sera étanchéifiée. L’objectif est de pouvoir débuter la pose des cloisons, chapes, peintures, …. pour les étages inférieurs (rez-de-chaussée au 6° étage inclus). Pour ce faire, d’ici quelques jours, les ouvertures et murs du bâtiment du rez-de-chaussée au 6° étage inclus seront équipés des cadres et supports permettant l’installation future de l’isolant. En parallèle, chaque ouverture du bâtiment du rez-de-chaussée au 6° étage inclus sera fermée avec du plastique afin de pouvoir débuter, à l’intérieur, la pose des cloisons, des aménagements, tirages de câbles, … C’est la raison pour laquelle le 6° étage (dalle supérieure) sera mis hors d’eau dès que la dalle du 7° sera achevée.

La mise hors d’eau du bâtiment, donc la fin de la construction des murs du 11° étage et de la dalle-toiture, est programmée en janvier 2015.

La visite de l’intérieur m’a permis de comprendre les difficultés de réalisation des TMA. En particulier pour l’électricité et les conduites. « L’électricité » est montée par une entreprise externe et arrive sur le chantier sous forme d’une « pieuvre ». Vous les avez forcément remarquées dans les photos régulières du blog. Les gaines accueillant les câbles sont installées dans le béton et placées aux emplacements définitifs. Aussi modifier leur emplacement après le coulage du béton est impossible 🙁  J’espère avoir été clair… Si ce n’est le cas, les photos ci-dessous vous éclaireront sans doute mieux 😉

Dans les étages inférieurs, l’installation des tuyaux a débuté.

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  • Visites et livraison

Les copropriétaires des appartements du rez-de-chaussée au 6° étage inclus devraient pouvoir profiter d’une visite de chantier ou plus précisément de leur appartement cloisonné, en mars/avril 2015. La seconde visite se fera quelques semaines avant la livraison.

Il m’a été confirmé qu’aucune livraison n’était possible tant que tous les appartements n’étaient pas achevés. A priori ce devrait pouvoir être fin 2015 mais il n’est pas dit que ce ne soit pas sur le début 2016. En tout état de cause, le Directeur de programmes s’engage à nous prévenir bien en amont en cas de retard. La livraison de l’ensemble des 98 appartements prendra 1 bon mois, aussi certains pourraient être livrés sur 2015 et d’autres sur 2016 😉

Dernier élément… ou presque, Vinci a placé sur l’Hôtel Ibis un appareil photo fixe pour faire un time-lapse et ainsi réaliser un film retraçant la construction. Un second appareil photo devrait être prochainement installé sur un point fixe en hauteur en face de Parc 17. Ces films complèteront le blog 😉

  • Quelques vues

Avant de terminer, voici quelques vues depuis l’intérieur du chantier ou de l’intérieur du chantier.

 Un appartement :

Les balcons :

Les terrasses des failles :

Les vues :

Pour finir, je tiens à remercier le Directeur de programmes de Vinci qui a accepté de me consacrer, de vous consacrer, un peu de temps. J’espère pouvoir réitérer une telle visite lorsque l’immeuble atteindra son 11° étage 😉

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Francis Soler : « Chacun de mes bâtiments est une œuvre »

L’architecte de Parc 17 nous a reçu pour une interview exclusive.        Il nous a raconté la naissance du bâtiment, confié les contraintes du projet, révélé ses choix artistiques.

Un entretien passionnant avec le « père » de notre futur immeuble.

Francis Soler est un architecte renommé pour avoir réalisé des équipements publics et des immeubles d’habitation ambitieux. Il a reçu le Grand prix d’Architecture, en 1990. Il s’est distingué, par exemple, par son travail sur le Ministère de la Culture, rue des Bons-Enfants, avec sa résille d’acier. Autre réussite : son immeuble de logements sociaux, colorés de sérigraphies, rue Durkeim, près de la BNF, à Paris. Entre autres.

Quelle est la genèse de votre projet à Clichy-Batignolles ? 

C’est déjà une histoire ancienne pour moi. Un premier promoteur, autre que Vinci, m’avait interrogé car il voulait acquérir cette petite parcelle. La dimension de la parcelle, c’est la dimension du bâtiment. C’est très inhabituel. On a zéro espace autour, donc c’est assez compliqué. J’avais donc déjà fait une étude, un ou deux ans avant que Vinci ne s’y intéresse. Cette étude de définition permettait de voir comment on pouvait utiliser cette parcelle coincée entre le mur de l’hôtel Ibis et le parc. Avec les contraintes que la ville avait fixées, cela limitait la parcelle à 10-12 mètres d’épaisseur, ce qui, aujourd’hui, n’est pas très rentable car un bâtiment de logements se fait habituellement sur 14 mètres d’épaisseur.

Dans un bâtiment, il y a toujours les parties fixes. Il faut un escalier, un ascenseur, des gaines techniques, des gaines de montée, des gaines de ventilation… Maintenant, ces parties dites communes deviennent de plus en plus importantes à cause des règlements handicapés, de sécurité… Donc, ces parties techniques, ça prend de la place. La difficulté, c’est que la parcelle nous imposait un gabarit. En ce moment, je fais un projet sur le plateau de Saclay pour EDF. J’ai 8 hectares où je peux faire les formes que je veux, je peux monter, je peux descendre, je peux m’étaler… Avec Parc 17, j’avais une largeur, une longueur et une hauteur définies. A partir de là, une fois que vous avez mis les parties fixes, il reste ce qu’on appelle du « gras ». C’est ce que vend le promoteur. Et dans ce bâtiment, le gras est très faible.

Dessin Francis Soler – Premier projet Parc 17

Pour la petite histoire, le bâtiment, avec lequel on a gagné le concours, faisait 9 étages et non pas 11, comme aujourd’hui. Ce premier projet de bâtiment était extrêmement dense. C’était une barre pleine où il n’y avait pas de terrasses. Il n’y avait que des appartements autour de deux cages d’escalier. Il s’avère qu’après avoir gagné le concours, on a commencé à dialoguer avec la Ville. Les remarques d’Anne Hidalgo, c’était : « Je ne veux pas de barre. Ce bâtiment me rappelle trop mes jeunes années dans les banlieues. Trouvez-moi des éléments qui me permettent d’avoir de la transparence, de la fluidité, de l’espace… ». Moi, j’étais forcément d’accord, mais il fallait penser au promoteur qui devait équilibrer son budget avec un bâtiment tout fin. On est avec lui pour trouver un équilibre architectural confortable pour les habitants et en même temps le rendement du projet. Nous avons donc fait six ou sept propositions successives jusqu’à arriver à celle d’aujourd’hui avec des percées qui permettaient des transparences sur les loggias. Mais, du coup, on perdait des mètres carrés. Donc, tout ce que l’on avait perdu avec les terrasses, il a fallu le retrouver en faisant deux étages de plus. Il fallait retrouver un équilibre économique. Avec les terrasses, on augmentait les linéaires de façade. Un bâtiment en façade pleine, comme le premier projet, coûte moins cher qu’un bâtiment qui a des percées. C’est plus difficile à construire, à isoler… Surtout avec les contraintes énergétique de la Ville qui sont très draconiennes. Il faut être dans le HQE, dans le Plan Climat, c’est très compliqué à régler. Il nous a fallu deux ans pour régler tout cela et retrouver un équilibre économique.

Au final, je trouve que toute cette confrontation a été très utile. Cette « battle », comme on dit aujourd’hui, entre la Ville et Vinci a abouti à un équilibre, qui est le bâtiment que vous connaissez. Je préfère nettement ce bâtiment avec ces deux percées.

Une des particularités de ce bâtiment est qu’il va être beaucoup vu. Vous avez pris en compte ce regard des gens depuis le parc ?

C’est évident. Sur la façade Sud, on a choisi des éléments entièrement vitrés, ouverts sur le parc. Il y a une différenciation entre le bas et le haut. La partie haute est en relation avec le ciel avec des grands garde-corps en verre et la partie basse est plus complexe avec des garde-corps en tube inox et des éléments sérigraphiés. C’est pour une question de confidentialité. J’ai pris conscience que le bâtiment allait être vu du parc. Les quatre premiers niveaux sont plutôt planqués derrière les sérigraphies. Ainsi, les gens, dans ces étages inférieurs, vont pouvoir voir dehors sans qu’on les voit chez eux. Par contre, à partir du cinquième étage, le verre va refléter le ciel et vous ne verrez jamais dans les appartements. Plus vous monterez, plus le reflet masquera l’intérieur.

C’est tout un travail de mise en scène qui permet de maintenir la confidentialité des appartements bas par rapport au parc. Dans une rue, je n’aurais pas fait ça. Par rapport au haut, on essaie de rendre le bâtiment plus évanescent avec des garde-corps vitrés, purs.

Le travail à l’arrière du bâtiment est plus opaque, car la relation à l’hôtel Ibis n’est pas formidable. Les fenêtres sont plus fermées pour que les clients de l’hôtel ne puissent pas voir dans les appartements et que, dans l’appartement, on ne voit pas l’hôtel.

La sérigraphie en façade, c’est quelque chose que vous avez déjà utilisé dans les immeubles d’habitation de la rue Durkeim, face à la BNF, et allée Paul Signac, à Clichy. Pourquoi aimez-vous mettre des sérigraphies sur les surfaces vitrées ?

Vous savez, je suis un Méditerranéen. J’aime bien avoir un maximum de lumière et, en même temps, je ne souhaite pas être vu dans mon intimité. Voir sans être vu, c’est toujours le problème dans le Sud. Donc, le moucharabié moderne, c’est la sérigraphie. D’abord, parce que cela teinte le sol, les éléments. Cela permet d’être chez vous, de voir dehors, sans être vu. Et puis, cela permet de raconter une histoire. Les bâtiments ont toujours été des supports à conter des choses, à raconter des histoires.

Immeuble d’habitations avec sérigraphies, rue Durkeim, Paris 13

Vous avez dit qu’un bâtiment doit être « beau et avoir du sens », l’utilisation de la sérigraphie, c’est dans cette logique ?

Oui, on n’est pas dans la banalisation de l’ouvrage. Moi, je ne suis pas un architecte qui construit énormément. Je construis peu de choses, mais j’essaie de les faire bien. A chaque fois, ce sont de petites œuvres. Je dis souvent qu’un bâtiment cesse d’être un ouvrage pour devenir une œuvre à partir du moment où il cesse d’appartenir à son auteur pour appartenir à ceux qui le prennent en main. C’est ainsi que j’ai conçu le ministère de la Culture avec la résille métallique sur sa façade à Paris. La rue Durkeim, c’est la même chose. 95%, voire 100% des habitants à qui on a demandé s’ils souhaitaient que l’on retire la sérigraphie ont répondu non. Car ils considèrent que cela leur appartient, que cela fait partie de leur chez eux. Il y a une identification, une appropriation importante alors qu’au début j’ai été traité de fasciste, de communiste, car j’imposais ma vision aux gens. Je leur expliquais que c’était des émaux transparents, des images. Les personnes mettent biens des petits rideaux à Vichy chez eux. Ce que je veux moi, c’est homogénéiser les petits rideaux à Vichy en leur donnant un sens. Cela a été difficile à faire passer. Maintenant, c’est dans la culture des gens. Tout le monde met des résilles partout. Tout le monde met de la sérigraphie partout. Il faut du temps, c’est tout.

Mon idée à l’origine était de mettre en option les deux garde-corps, sérigraphiés ou transparents. Le bâtiment aurait été dessiné par les acquéreurs. L’œuvre serait devenue collective, complètement aléatoire. Mais, pour la commercialisation, c’était trop compliqué.

Vos choix artistiques ont-ils été compris par le promoteur ?

Le promoteur aurait peut-être préféré qu’il n’y ait pas de sérigraphies du tout, car ça peut être une contrainte à la vente. Vinci s’inscrit, aujourd’hui, dans les promoteurs à la fois prudents et contemporains. Ils font travailler des architectes renommés comme Dominique Perrault, Anne Demians, la star du moment (c’est elle qui fait le bâtiment de bureaux en forme de TGV près de Pereire 17), Stéphane Maupin, un jeune architecte talentueux qui fait Pereire 17. Ils font aussi travailler Bocabeille Prego sur Cardinet 17.

Ils ont donc cette envie d’architecture contemporaine, mais ils peuvent se faire rattraper par des préoccupations commerciales, la peur que les clients ne veulent pas des sérigraphies et les fassent enlever. Dans le privé, ils essaient de se mettre dans la tête des gens qu’ils pensent être intéressés.

Comment intervenez-vous une fois que le chantier a débuté ?

Depuis que le chantier a démarré, nous le suivons de près avec mon équipe. Nous sommes en contact avec les entreprises qui ont des dossiers très précis qui couvrent tous les sujets. Sur place, il y a un conducteur d’opérations, un ingénieur centralien, plus d’autres experts. Nous avons la mission complète : étude, suivi de travaux et livraison. Ce qui devient de plus en plus rare, car les promoteurs dans le privé ont parfois tendance à prendre des architectes pour dessiner les projets et à les éjecter ensuite pour la construction.

Nous, on cherche à donner aux acquéreurs la chose la plus près possible de ce que l’on a proposé, de ce que l’on a dessiné. Comme, dans notre agence, nous sommes très techniques, nous pouvons aller jusqu’au bout.

Quel regard portez-vous sur la ZAC ? Sur l’aménagement et les bâtiments ?

Moi, je trouve ça bien. C’est moderne, aéré. On est dans un urbanisme proche de celui qu’a fait Jean-Pierre Buffi le long du parc de Bercy et qui est une grande réussite à Paris. Ce sera la même ambiance, particulièrement du côté Nord de la ZAC où se trouvera Parc 17. Par contre, du côté Sud, entre le parc et les voies ferrées, il va manquer d’aération et d’espace entre les bâtiments. Cela risque de faire un peu « foire expo »…

Comment voyez-vous l’arrivée de la Cité judiciaire avec le bâtiment signé Renzo Piano ?

C’est très bien. Avoir un équipement de cette envergure, près de chez soi, c’est un élément majeur. De plus, avec Renzo Piano, on est dans la même écriture, dans la même famille de pensée, dans la même modernité, un peu sensible, subtile, travaillée. Ce n’est pas seulement de la baie vitrée. Il y a tout un travail sur les épaisseurs et la perception. Renzo Piano est l’un des architectes que je regardais le plus dans les années 80. C’est à la fois un technicien et un sensible. Ça se voit, par exemple, avec le Centre culturel Jean-Marie Tjibaou, qu’il a fait à Nouméa.

Il y aura une cohérence, un dialogue, entre Parc 17 et la Cité judiciaire de Renzo Piano, même si son projet est postérieur au mien. Entre les deux, il y aura un autre bâtiment dans le même esprit, celui Manuel Gausa, un architecte espagnol, un ami à moi, qui va faire les immeubles de logements pour la Cogedim, à l’Ouest, juste à côté de Parc 17.

Nous remercions chaleureusement M. Francis Soler de nous avoir accordé du temps pour répondre à nos interrogations. Il s’est montré d’une grande disponibilité pour nous confier ses desseins pour Parc 17. Nous espérons que d’autres rencontres avec lui et son équipe nous permettront d’accompagner, en connaissance de cause, la sortie de terre du bâtiment.

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Cardinet 17 … dernier étage atteint

Cardinet 17 est un immeuble proche de Parc 17 dans la ZAC Clichy-Batignolles dont le promoteur est aussi Vinci Immobilier.

Les derniers étages de celui-ci ont été installés, il ne grandira plus 😉

Tout comme Parc 17, il comporte 11 étages.

Les fenêtres et isolations extérieures sont en cours d’installation.

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Les autres projet de la zone E5

Après que Vinci Immobilier Résidentiel ait acquis le lot E5 de la ZAC Clichy-Batignolles, un appel à candidature a été lancé et quatre équipes ont été choisies pour avoir le droit de proposer un projet d’aménagement de la zone, autrement dit proposer l’immeuble qui s’érigerait sur ce lot E5 :

Comme indiqué dans ce communiqué, le lauréat de la consultation devait être désigné fin juin 2010 pour un démarrage des travaux prévu début 2012 et une livraison été 2013…

Sur Internet, il est encore possible de trouver quelques éléments des projets non retenus.

Je n’ai rien trouvé concernant la première agence. 🙁

Pour l’agence Koz Architecte, comme il est possible de le voir sur cette page, à la date du 02/07/2010, il s’agissait d’un immeuble intitulé Géant vert.

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Pour SOA Architectes, le projet était très arrondi. Deux documents permettent d’en avoir un aperçu, le premier très synthétique, le second plus détaillé.

SOA

Quant au dernier projet, celui de Francis Soler, vous le connaissez tous.

Un article est en préparation sur son architecte 😉

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Premiers coups de pelle

Ça y est, les travaux ont débuté 🙂

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Toute la semaine un tractopelle Hitachi a œuvré sur la parcelle, retourné le remblais et bâti une rampe d’accès avec ce remblais.

Quelques illustrations prises au long de la semaine :

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Ouverture du chantier déclarée

Ça y est, les travaux vont enfin pouvoir commencer. L’ouverture du chantier vient d’être officiellement accordée par le responsable des programmes de la Direction de l’urbanisme de la Mairie de Paris aujourd’hui !

La preuve en images :

Pour que les 26 mois de travaux aient des chances de s’achever avant la fin 2015, il était temps d’obtenir cette autorisation 😉

L’immeuble de Francis SOLER va enfin pouvoir sortir de terre et avec lui disparaître un morceau de Street art spécialement dédié. Un fait du hasard ? Aucune idée !

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La phase « TMA » est engagée

Certes, rien n’a bougé cette semaine sur le chantier de Parc 17 et nous n’avons toujours pas signé chez le notaire… Pourtant, il  faut faire avancer les réflexions sur l’appartement que nous occuperons fin 2015, voire début 2016. C’est la raison pour laquelle, accompagné d’un architecte recruté pour nous accompagner, nous avons eu notre premier rendez-vous au show-room de Vinci Immobilier pour faire part de nos demandes de TMA.

Les fameux TMA

Les TMA, acronyme barbare qui signifie « Travaux Modificatifs Acquéreur », sont les modifications demandées par l’acquéreur d’un logement sur plan. Le but :  faire de l’appartement acheté… celui dont il rêve ou pour le moins s’en rapprocher. Dans notre cas, il s’agit de supprimer une chambre, transformer une salle de bain en dressing, réduire une salle d’eau, agrandir la cuisine, ouvrir un mur porteur, déplacer le tableau électrique, faire un faux plafond… Deux, trois petites choses en somme ! A cela s’ajoute un nouveau plan électrique pour l’adapter aux fonctions des pièces, en pensant par exemple à la hifi. Il serait dommage de devoir mettre des rallonges électriques dans un appartement neuf !

Cela parait dingue mais ce sont des choses auxquelles il faut penser très tôt. Initialement ces TMA devaient être déposés fin juillet puis fin octobre, mais à présent il nous a été indiqué que ce serait pour fin décembre 2013, voire mars 2014. Nous avions donc le temps. Cependant ce temps sera mis à profit pour les aller-retour de discussions et négociations 😉

Nous avons profité de ce rendez-vous dans le show-room pour regarder les parquets, carrelages et meubles proposés pour les sols de l’appartement, les murs de la salle de bain et les meubles de cette dernière. Là-encore, nous avons le temps puisqu’il nous faudra arrêter définitivement nos choix au plus tard un an avant la livraison, donc fin 2014. D’ici là, il est possible que certains matériaux et meubles, qui nous ont été présentés, soient changés ou d’autres ajoutés. En effet, nous avons vu essentiellement ceux du programme Pereire 17 et ils ne seront pas forcément identiques à ceux proposés dans Parc 17.

Pourquoi un architecte ?

Le travail de Vinci consiste à vérifier que nos souhaits sont techniquement réalisables, qu’ils respectent les normes actuelles (handicap, isolation…) et qu’ils ne dépassent pas le budget initial. Rien de plus. Vinci n’agit pas en architecte conseil mais uniquement en architecte censeur. Cela se comprend facilement, Vinci ne pourrait retravailler chaque appartement. De plus, respecter les-dites normes à la livraison implique quelques travaux après cette livraison. Pour suivre ces travaux, un architecte nous semblait précieux et nous confirmons qu’il, en l’occurrence elle, l’est. Acheter dans le neuf ne doit pas forcément dire avoir le même appartement que ses voisins du dessus ou du dessous !

A présent nous attendons le premier retour sur nos demandes de TMA 😉

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