Archives de Tag: Bardage

Point travaux / Semaine 106

De nombreuses évolutions sont en cours et visibles en cette semaine 106 de travaux de Parc 17 à commencer par de nombreux gardes-corps posés sur le bâtiment C, cassettes sur le bâtiment B mais aussi peinture sous les terrasses des failles et balcons du bâtiment C.

Parc 17, 17 octobre 15

Parc 17, 17 octobre 15

  • Bardage

La pose du bardage progresse bien sur les faces Sud des bâtiments B et C ainsi que sur la façade Est du bâtiment C. Sur les murs donnant sur les failles, la progression est peu visible.

Sur le bâtiment A, la pose de l’isolant est en préparation.

Stocks d'isolants en attente d'être posés, bâtiment A

Stocks d’isolants en attente d’être posés

  • Garde-corps

Sur le bâtiment C, la pose des gardes-corps progresse tant sur la façade Est que sur la façade Sud.

Depuis l’arrière, la vue sur les gardes-corps de la façade Est est intéressante.

Au niveau des failles, à l’arrière, 3 types de gardes-corps sont visibles.

  • Peinture

Les « plafonds » de certaines terrasses et de certains balcons ont été peints cette semaine. Un dégradé de gris semble apparaître, plus clair en bas, plus foncé en haut. Cette différence est-elle une illusion d’optique ? Restera-t-elle ?

Pour terminer cet article, la photo d’un chantier voisin de Parc 17 qui avance, celui de la réinstallation des voies ferrées sous le belvédère.

Travaux de réinstallation des voies ferrées à côté de Parc 17

Travaux de réinstallation des voies ferrées à côté de Parc 17

Enfin, une dernière vue de Parc 17

Parc 17 depuis le belvédère

Parc 17 depuis le belvédère

 

Cette semaine débute une nouvelle série de visites pour les copropriétaires. Nous attendons impatiemment vos impressions sur le forum 😉

Bonne semaine et bonnes visites 🙂

 

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Point travaux / Semaine 105

Une fois n’est pas coutume, l’article de ce jour sera court, très court. L’élément essentiel, visible, de la semaine est le début de la pose des gardes-corps sur la façade Sud de Parc 17.

Parc 17, 11 octobre 2015

  • Bardage

La pose des cassettes avance sur la façade Sud du bâtiment C. Elle est en préparation pour le bâtiment B ainsi que sur les façades intérieures de la faille entre les bâtiments B et C.

  • Garde-corps

L’élément nouveau de la semaine est le début de la pose des gardes-corps sur la façade Sud du bâtiment C de Parc 17. Ceux actuellement en cours de pose, aux 3° et 4° étages sont ceux qui seront équipés des verres sérigraphiés. Ils sont donc actuellement incomplets.

Premiers éléments de garde-corps sur la façade Sud de Parc 17

Pour information, des ouvriers travaillaient toute la journée de samedi sur le chantier.

Pour finir, une dernière vue de Parc 17, depuis le belvédère.

 

 

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Point travaux / Semaine 104

Evidemment, 2 semaines sans article sur l’évolution de notre futur immeuble permet d’en voir et d’en écrire plus 😉 Alors cette semaine, la grande nouvelle est le début de la pose des premiers gardes-corps sur l’immeuble ainsi que celui des cassettes sur la façade Sud du bâtiment C.

Parc 17, 3 octobre 2015

  • Bardage

A l’arrière et en façade latérale Est, la pose du bardage est finie ou presque.

Façade Nord de Parc 17

Façade Nord de Parc 17

La pose débute en façade Sud du bâtiment C et sur le mur du même bâtiment donnant sur la faille le séparant du bâtiment B. Vous suivez ? 😉

Le soleil couchant sur Parc 17 donne un aspect très intéressant 🙂

  • Garde-corps

La pose des gardes-corps a débuté à l’arrière du bâtiment sur les terrasses situées au niveau des failles. Deux types de gardes-corps sont visibles.

Les premiers sont vitrés. Ils sont identiques à ceux qui équiperont les balcons de la façade Sud au delà du 4° étage.

Les seconds, au niveau de la faille entre les bâtiments B et C, là où les terrasses sont partagées, sont moins vitrés et plus tubulaires.

  • Raccordements

Sur le côté Ouest de l’immeuble, une ouverture a été creusée. Manifestement, Parc 17 est en cours de raccordement à certains réseaux.

Pour finir, quelques autres photos de Parc 17.

 

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John-David Fernandes, le chef d’orchestre de Parc 17 – Part. 2

Après nous avoir parlé de son métier et de Parc 17, le directeur de programmes évoque les relations avec les acquéreurs et deux moments cruciaux : les TMA et la livraison…

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  • Quand entrez-vous en relation avec les acquéreurs ?

C’est au moment de la réservation avec la question épineuse des TMA… Ces demandes de modification doivent arriver à temps. Et parfois, il y a des ratés… Nous disons aux acquéreurs de ne pas faire leurs demandes trop tard, mais ce n’est pas toujours bien compris. Par exemple, pour l’implantation des prises, des pieuvres électriques sont fabriquées en usine. Il faut qu’elles arrivent au moins une quinzaine de jours avant le coulage. Et ensuite, il y a l’assemblage sur place. Si les acquéreurs donnent leur plan électrique alors que la pieuvre est réalisée, c’est trop tard, même si le béton n’est pas coulé.

 

  • Sur les TMA, le point noir, c’est souvent le plan électrique, non ?

En effet, car ce sont les demandes les plus précises. Quand vous souhaitez une prise à 48 cm, la justesse de l’emplacement est importante. Le souci est, qu’en cas d’erreur, il y a des choses que l’on ne peut plus réparer. Si vous demandez une prise au sol et qu’on l’a oublié, il n’y a plus rien à faire. On ne peut pas casser toute la dalle pour une prise. De même, déplacer une prise dans un mur en béton n’est pas sans conséquence. Quand vous faites une reprise de béton, vous favorisez la fissuration. Donc, on essaie au minimum de taper dans le béton pour cette raison. Quand un acquéreur nous dit que la prise n’est pas au bon endroit à 5 centimètres près, on préfère lui dire de s’y faire car on ne va pas tout casser pour quelques centimètres. Mais, ce n’est pas toujours bien compris…

 

  • Beaucoup de TMA ont-ils été demandés pour les appartements de Parc 17 ?

Un logement sur deux a des TMA sur Parc 17. Ce qui est colossal ! Comme la conjoncture était plus difficile au moment de la vente, nous avons été plus à l’écoute des demandes des acquéreurs. De plus, on a remarqué que la clientèle de Parc 17 était sensible aux TMA, plus que sur Pereire 17 ou Cardinet 17. Et puis, il y a des appartements où des modifications étaient facilement envisageables. Par exemple, pour les 4 pièces dans le bâtiment A, on s’attendait à ce que la chambre à côté du séjour soit ouverte. Et puis, il y a la norme handicapée qui provoque des demandes récurrentes. Par exemple, en ce qui concerne les WC. 

 

  • Cette obligation de livrer des appartements aux normes handicapées est-elle une difficulté pour vous ?

Cette réglementation est très contraignante, mais nous l’avons maintenant intégrée dans nos programmes. Il est vrai que, sans cette réglementation, nous ferions des logements qui seraient beaucoup mieux. Du point de vue de l’accessibilité, cette norme est une bonne chose, mais d’un point de vue commercial, c’est une catastrophe ! La contrainte la plus marquante concerne les WC. A 10 000€ du m2, je comprends que les acquéreurs préfèreraient mettre des mètres carrés dans la cuisine ou le séjour, plutôt que dans les toilettes. La bonne chose, c’est que l’obligation d’avoir une chambre « personne à mobilité réduite » oblige à avoir une chambre plus spacieuse. Mais, globalement, ce sont des contraintes préjudiciables.

 

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  • Comment se passe votre dialogue avec les acquéreurs ?

Cela passe normalement par l’attaché de clientèle. Mais, quand il y a une difficulté, le client demande toujours l’arbitrage du niveau supérieur. Et une personne qui est entrée en dialogue avec l’échelon du dessus, elle ne veut pas repasser à l’échelon du dessous… Donc, au fur et à mesure de l’avancée du programme, je finis par gérer directement les demandes de nombreux acquéreurs. Du coup, cela alourdit mon travail. L’intérêt, quand vous connaissez les gens, c’est que vous finissez par arrondir les angles, dans un sens comme dans l’autre. Je constate que les clients font preuve de plus de compréhension quand vous leur parlez plus fréquemment.

 

  • La visite « cloisons » est-elle un moment crucial ?

C’est toujours un moment important car les acquéreures passent du plan à la réalité. Donc, il y a de la déception, de la joie ou des interrogations… C’est délicat. Nous déléguons ces visites car nous n’avons pas les moyens en personnel, chez Vinci, pour les conduire. Nous travaillons la société Eteec, M. Bourdyot, des partenaires de confiance, depuis plus de 10 ans. Vous le verrez aussi à la pré-livraison et à la livraison. C’est avec lui aussi que vous gérerez les réserves. C’est un interlocuteur que vous allez voir de plus en plus. Son rôle, c’est un assistant à la maitrise d’ouvrage.

Une fois que les visites « cloisons » ont été terminées, j’ai refait toutes les visites avec M. Bourdyot. Il m’a expliqué, dans chacun des logements, les discussions que vous aviez eues avec lui. Si je n’avais que les remarques brutes, je n’en connaitrais pas la finalité. Parfois, il y a des demandes que je n’ai pas l’obligation d’accepter, mais si ça ne nous coûte pas grand chose et que, pour l’acquéreur, ça débloque quelque chose d’important, j’essaie de les prendre en compte. J’ai besoin de savoir si la demande est déterminante ou non pour l’acquéreur et seul M. Bourdyot peut me l’expliquer.

Ensuite, une analyse est faite avec les entreprises. Nous envoyons un courrier pour dire ce qui a été accepté ou non. Enfin, on informera les acquéreurs sur la levée des réserves avant la visite suivante. Mon objectif est d’ envoyer un courrier aux acquéreurs avec l’ensemble des remarques prises en compte et réalisées, afin de les vérifier à la prochaine visite. C’est l’idéal. Mais, il y a quelques cas où ça ne sera pas possible pour une question d’avancement du chantier.

 

  • Est-il possible d’éviter toutes les déceptions lors de la visite « cloisons » ?

Chacun appréhende les plans de manière différente. Il y a des gens qui ne savent pas lire des plans ou se projeter dans l’espace. On arrive dans une phase où l’on visite un espace certes cloisonné, mais gris et vide, ce qui rapetisse. C’est souvent à l’origine de beaucoup de déceptions. Il y a des gens qui sont tellement déçus parfois, qu’ils peuvent faire des demandes d’annulation de vente ! Ce n’est pas arrivé à Parc 17.

Mais après cette première visite, il peut rester un ressenti. Si nous avons refusé des modifications, à cette étape, et qu’à la livraison, il se passe encore quelque chose, c’est mal vécu. Je le comprends très bien. Les copropriétaires ont acheté un bien très cher, ils veulent le meilleur.

Il y aussi des cas où les acquéreurs se servent de cette première visite pour demander des choses qui n’étaient pas du tout prévues, comme déplacer six prises ! Il y a un moment, il faut que l’on puisse avancer, faire les travaux. Il faut comprendre que ce n’est pas possible, pour nous, de tout refaire en permanence.

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  • Quelles demandes des acquéreurs sont impossibles à satisfaire ?

Nous essayons de refuser uniquement ce qui est techniquement impossible. Par exemple, ajouter des prises électriques dans des voiles en béton. Il faudrait faire des tranchées dans le béton. On explique alors aux acquéreurs que, malheureusement, on ne peut pas ajouter de prise. On essaie de trouver un arrangement, en ajoutant une autre prise, ailleurs.

Lorsque l’on refuse des TMA, même quand elles sont arrivées trop tardivement, il peut cependant rester une amertume. Souvent, les acquéreurs pensent que tant que le béton n’est pas coulé, on peut toujours tout faire. Malheureusement, non. Et ça se passe plus ou moins bien. Quand on dit non à un TMA et qu’ensuite, lors de la visite cloisons, il y a un souci, les gens sont mécontents, c’est normal.

 

  • Pour vous qu’est-ce qui est le plus important : la rentabilité ou la satisfaction du client ?

Les deux sont importants. Si on fait un programme rentable, mais que les 98 copropriétaires sont mécontents, ça ne va pas. Chez Vinci, la satisfaction du client est importante. Mais, on fait tout de même attention. Il ne faut pas dire oui pour faire plaisir au client et ensuite décevoir car on ne sait pas le faire. C’est ce que j’essaie d’expliquer. Je préfère dire les choses telles qu’elles sont et ne pas avoir de déception à la livraison.

 

  • La grande angoisse des acquéreurs, c’est la date de livraison. Vous pensez qu’il vaut mieux livrer avec trois mois retard pour livrer un programme de meilleure qualité ou tenir le délai coûte que coûte ?

C’est un équilibre à trouver en les deux. Sur le chantier, il faut faire le plus vite possible mais attention à ne pas faire trop vite non plus. Si je sais qu’en prenant deux semaines de plus, je vais livrer un immeuble propre et achevé, c’est mieux. Il n’y a rien de pire que d’arriver dans un appartement avec le plombier en train de faire les derniers réglages… Cela ne fait pas sérieux. Tenir le délai est important, mais l’objectif est de livrer dans des conditions normales un appartement terminé et nettoyé.

 

  • Le délai donné par le promoteur, au départ, n’est-il pas toujours minimisé ?

Non, il n’est pas minimisé. Décaler la date est toujours très déceptif. Parfois, on fait un programme très qualitatif où tout se passe bien et on gâche tout en décalant la livraison. Nous savons combien c’est important pour les acquéreurs. Le problème est que l’on donne un délai à un moment où tous les paramètres ne sont pas connus et où il peut y avoir encore des aléas. C’est difficile de viser juste, surtout dans des programmes où la commercialisation rentre en ligne de compte et où les contraintes de chantier sont très lourdes. Et puis, le logement s’est tellement complexifié. Avant, on faisait du logement facilement en 20 mois. Aujourd’hui, c’est impossible. On doit réaliser des façades qui sont pratiquement aussi complexes que celles de bureaux, sauf qu’à l’intérieur, faire des des logements, c’est 1000 fois plus complexe que des bureaux où vous livrez des plateaux vides.

Sur Parc 17, le chantier est long à cause des conditions d’approvisionnement. Il n’y a pas de place sur la parcelle. Par exemple, on ne pouvait mettre qu’une seule grue. Avec deux grues, on aurait fait le gros œuvre, 6 mois plus vite. Sur Pereire, c’était la même chose. Une seule grue était possible. Le chantier a duré 34 mois, ce qui est extrêmement long. Et sur Parc 17, nous avons une façade qui est extrêmement complexe car elle est entièrement en vêture. Le même immeuble, avec de l’enduit sur toute la façade, serait déjà fini. Tout cela participe à allonger les délais.

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  • Votre intérêt n’est-il pas aussi de tenir les délais d’un point de vue financier ?

Pour nous, une opération, c’est des frais financiers et la totalité du chiffre d’affaires, nous ne le percevons qu’à la livraison. C’est clair que pour nous, il n’y a aucun intérêt à avoir du retard ! Parfois, on peut décaler d’une ou deux semaines. Mais, pas question de se dire : « Allez, on décale d’un mois pour être tranquille et partir en week-end ! ».

Les gens nous disent parfois : « Vous décalez, ça ne vous fait rien ! ». Non, ça ne nous fait pas rien. Ca change beaucoup de choses à notre économie. Notre modèle, c’est de finir le plus vite possible.

 

  • Comment gérer cette question du timing avec les différentes entreprises ?

C’est le rôle du pilote. Sa mission : ordonnancement, pilotage, coordination. Il gère le planning, les effectifs et les enchainements de tâches. C’est lui qui dit à l’entreprise d’intervenir de telle date à telle date. Il contrôle les enchainements de tâches et leur cohérence. Par exemple, on ne va pas faire la peinture avant d’avoir posé la chape.

Nous avons choisi, pour Parc 17, des entreprises sérieuses qui ont un besoin de coordination minime. Nous savons que nous pouvons compter sur elles. Nous n’avons pas le droit à l’erreur. Nous mettons en œuvre des matériaux tellement chers que nous ne le faisons pas faire par n’importe qui.

 

  • En dehors de la taille de la parcelle et de l’impossibilité de stockage, quelles étaient les autres difficultés sur Parc 17 ?

La présence de bureaux de l’Ibis, au 2ème étage, était une contrainte. Ces bureaux ne sont pas alimentés uniquement par les ouvrages techniques de l’immeuble, mais aussi pas les installations techniques qui sont dans l’hôtel. Par exemple, l’eau glacée pour la climatisation vient du moteur de production d‘eau glacée de l’Ibis. C’est une complexité à gérer. Et d’un point de vue réglementaire, c’est assez contraignant d’avoir des bureaux dans un immeuble de logements. Les réglementations sont différentes.

A Parc 17, il y a des bureaux mais aussi un établissement pouvant recevoir du public (ERP). Nous avons donc trois entités : les logements, les bureaux et l’ERP (en fait, des salles de conférence). A cause de cette complexité de destination, le classement incendie était tel qu’on ne savait plus faire le programme de logements. Ce qui explique aussi le décalage de deux ans entre le dépôt du permis de construire et le démarrage des travaux.

 

  • Quels étaient les défis dans la réalisation de l’extérieur de l’immeuble ?

Il fallait réussir à faire une façade qui ressemble à l’image voulue par l’architecte, mais sans y mettre des matériaux à un prix prohibitif. Il a fallu faire des concessions.

Les concessions ne sont pas seulement d’ordre financier, mais aussi d’ordre d’usage. Par exemple, nous avons eu de vives discussions, avec l’architecte, sur la hauteur des garde-corps au niveau des failles. Il a fallu convaincre Francis Soler que des garde-corps d’1 mètre 80 ne seraient pas l’idéal au quotidien. Cela fonctionne pour un immeuble de bureaux, mais pas pour un immeuble d’habitation. Cela aurait donné l’impression de vivre dans un cube de verre. Là, il ne s’agit pas de concessions financières.

Cela concerne aussi les volets roulants. Francis Soler souhaitait seulement des stores. Or, des stores ne permettent pas d’obtenir une obscurité totale dans les appartement, à la différence de volets roulants. De plus, les clients les souhaitaient. Une dizaine de lots se seraient désistés si l’on n’avait pas mis des volets roulants.

Aujourd’hui, l’architecte est convaincu de ces évolutions. Les concessions, qu’il a acceptées, ont fait évoluer le projet dans le bon sens.

Cependant, nous avons toujours chercher à respecter la volonté première de l’architecte, par exemple pour les encadrements métalliques des portes-fenêtres. C’était une demande de Francis Soler qui souhaitait faire un lien entre l’extérieur et l’intérieur de l’immeuble. Il fallait déterminer quand poser ces encadrements : avant ou après le parquet ? Quel était le risque de les abîmer ? D’habitude, c’est du béton enduit et peint, c’est beaucoup plus simple.

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  • Comment se passe, actuellement, la pose du revêtement extérieur ?

La complexité du revêtement extérieur vient du fait que l’on doit poser des cassettes sérigraphiées différentes les unes des autres. Si nous devions poser 5 000 cassettes identiques, ce serait plus facile. Là, lorsqu’une cassette est abimée, il faut la remplacer et on ne peut remplacer la 1200-C par une autre que la 1200-C. Donc, la pose attend…

Cela peut jouer sur le délai. Heureusement, c’est bien géré par l’entreprise car c’est dans son intérêt. Ce sont des matériaux très onéreux. Si les cassettes s’abîment, l’entreprise peut rapidement perdre beaucoup d’argent. Elle doit bien gérer ses stocks. Pour l’instant, nous n’avons pas ce problème.

Une fois que la façade sera achevée, nous entrerons dans une phase plus tranquille. Nous sommes sortis de la période de complexité. Les acquéreurs ont visité. Nous faisons les vérifications. A présent, il s’agit de poser le parquet, rien de révolutionnaire. A l’intérieur, c’est de l’enchaînement de tâches. Les difficultés sont passées.

 

  • Si vous deviez comparer Pereire 17, où vous étiez aussi directeur de programmes, et Parc 17, quelles seraient les différences ?

Les deux programmes étaient assez complexes. La particularité, c’est la taille, le nombre de logements. Sur Parc 17, l’étroitesse de la parcelle a tout compliqué. C’est difficile de ne pas pouvoir mettre de bennes sur le chantier et de devoir procéder aux évacuations des déchets par camion, tous les jours. Le côté positif de l’absence de bennes, c’est que le chantier est nickel. Il n’y a pas de stockage. A contrario, la difficulté est de faire venir les matériaux au compte-goutte. C’est le cas pour l’entreprise italienne qui fournit les fenêtres, les portes-fenêtres et les cassettes.

Lorsque les échafaudages ont été montés, on s’est rendu compte qu’il ne restait quasiment plus de place. Cette problématique restera jusqu’à la fin du chantier. Heureusement, les gros approvisionnements sont quasiment finis. Nous avons reçu le bois et les carrelages.

 

  • Quelles sont les prochaines étapes du chantier ?

Sur l’extérieur, c’est le bardage, la menuiserie puis la pose des garde-corps. A l’intérieur, c’est l’équipement des logements : le parquet, les radiateurs, les meubles de salle de bain, les placards…

 

  • Pensez-vous qu’il puisse y avoir encore un retard dans la date de livraison ?

Il peut encore y avoir du retard si les prestataires ne respectent pas leur délai pour des raisons diverses. La façade reste une difficulté car si les bardages ont été approvisionnés, grâce à une production de l’usine à la bonne cadence, la question est celle de l’approvisionnement des garde-corps. Et il y a 3,4 kilomètres de garde-corps ! Vont-ils arriver à la bonne cadence ? L’usine produit-elle comme il faut ? Aujourd’hui, nous sommes toujours dans cette interrogation, même si nous sommes rassurés par le fait qu’ils aient tenu leurs délais jusqu’à présent.

Les vitrages sérigraphiés des garde-corps sont très spécifiques. Aujourd’hui, tout est lancé en fabrication sauf ces vitrages sérigraphiés. Les derniers essais et la validation se sont faits, il y a très peu de temps. Nous ne parvenions pas à trouver une densité de matière qui plaisait à l’architecte, comme à nous.

De mémoire, l’extérieur devrait être fini, fin novembre ou tout début décembre à l’exception des sous-bassements que l’on verra avec l’aménageur. En général, on les termine après la réfection de la voirie. Sauf si, ici, il veut faire l’inverse, dans ce cas, on livrera et l’on verra.

Notre obligation est d’informer les acquéreur, 3 mois avant la livraison, pour pouvoir donner un congé en cas de location.

 

  • La livraison peut-elle s’étaler sur plusieurs semaines ?

Oui, la livraison s’étalera sur un mois. La préparation en amont demande du temps, préparer tous les éléments à donner, les éléments d’accueil, organiser les plannings des livraisons…etc.

 

  • Nous sommes à la 100ème semaine de travaux, quel est votre premier bilan ?

Je suis satisfait par la mise en œuvre de la façade. Le rendu est très beau. L’investissement d’un million d’euros dans cette façade n’a pas été inutile. Je trouve que c’est une belle réussite. Je pense que nous allons faire un objet qui va être assez incroyable. Il va plaire ou non, mais personne ne sera indifférent. Et vu l’emplacement de l’immeuble, tout le monde le verra.

Parc 17 est quasiment au centre du Parc Martin-Luther King et son effet « barre » vitrée augmente sa visibilité. Aujourd’hui, on se fait tous une idée de ce que sera la façade finalisée mais ce sera une surprise que j’attends particulièrement. Cela dépendra aussi de l’usage que feront les propriétaires des terrasses, balcons, garde-corps.

Et à l’intérieur, nous avons un super produit. La réaction de tous ceux à qui on a fait visiter le programme est positive : de beaux volumes et un emplacement exceptionnel.

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Point travaux / Semaine 102

En cette semaine 102 de travaux, la pose des divers éléments de bardage se finalise à l’arrière du bâtiment, elle progresse sur la façade latérale Est. L’installation des gardes-corps de toiture a débuté en parallèle.

Parc 17, 19 septembre 2015

  • Bardage

La pose des éléments de bardage de la façade latérale Est se poursuit.

A l’arrière, le filet de protection de l’échafaudage du bâtiment C a été déposé, peut-être en prévision d’un démontage proche. Quoiqu’il en soit, les éléments du bardage sont ainsi plus visibles. Quelques cassettes manquent encore.

Sur la façade Ouest du bâtiment A, les barres de fixation (noires) des éléments du bardage sont en cours de pose.

Façade Ouest, bâtiment A, Parc 17

  • Garde-corps

L’ensemble des gardes-corps vitrés a été installé sur la façade Nord du bâtiment C. La pose a débuté sur l’arrière du bâtiment B.

Les barres des gardes-corps de toiture sont en cours d’installation sur la totalité du bâtiment. Pour mémoire, le toit-terrasse ne sera pas accessible, il est équipé de graviers et de panneaux photovoltaïques.

  • Sérigraphies

Quelques détails des plaques sérigraphiées de l’arrière de l’immeuble.

Pour finir, quelques autres photos de Parc 17 en ce week-end ensoleillé.

Pendant tout ce temps, l’intérieur des appartements progresse…

 

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Point travaux / Semaine 101

Il fallait jouer avec la pluie et le soleil ce week-end pour le reportage 😉 . Les photos ne sont pas excellentes mais elles permettront tout de même de montrer les 2 éléments extérieurs qui ont avancé en cette 101° semaine de travaux sur Parc 17 : la pose des premiers garde-corps et du bardage sur la façade latérale Est du bâtiment C.

  • Bardage

La pose des cassettes a débuté cette semaine sur la façade Est du bâtiment C, celle de l’extrémité de l’immeuble du côté de la résidence étudiante. Les photos étaient difficiles à prendre pour le démontrer mais en observant bien derrière le filet de protection, les cassettes, y compris sérigraphiées, apparaissent 😉

Sur les failles, les cassettes attendent d’être posées.

  • Garde-corps

Les premiers garde-corps de l’immeuble ont été posés cette semaine. Il s’agit des garde-corps vitrés de la façade Nord, celle donnant sur l’Hôtel Ibis. Ces garde-corps sont de « simples » vitres, transparentes, élégantes, de grande taille.

Pour terminer aujourd’hui, une vue de Parc 17 depuis la rue Lemercier.

L'entrée du Parc Martin-Luther King avec vue sur Parc 17

L’entrée du Parc Martin-Luther King avec vue sur Parc 17

 

Tout dernier point, si le temps nous a manqué la semaine passée pour retranscrire l’interview de John-David FERNANDES, Directeur de programme de Vinci Immobilier chargé de Parc 17, cela ne saurait tarder. Tenez-vous prêt cette semaine pour la lecture 😉

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Point travaux / Semaine 100

Et voici la 100ème semaine de travaux arrivée 🙂 Nous ne fêterons pas cet anniversaire mais c’était à noter ! Le point de cette semaine sera court. Il précèdera surtout un article plus long qui sera publié dans la semaine sur le métier de Directeur de programme 😉

Parc 17, 6 septembre 2015

  • Fenêtres

Les vitres des portes-fenêtres de la façade latérale Ouest du bâtiment A ont été posées, à une exception près, quelques jours après notre visite de l’immeuble, dans la semaine 99. Aujourd’hui encore, cette porte-fenêtre (tout en haut à gauche) reste la seule non vitrée de Parc 17.

Façade latérale Ouest du bâtiment A, presque en totalité vitrée

  • Bardage

La pose des cassettes sur la face Nord de l’immeuble, face à l’Hôtel Ibis, est terminée à quelques exceptions. Il reste à poser les gardes-corps vitrés des fenêtres de cette façade arrière.

Façades des bâtiments B & C :

Façade du bâtiment A :

Sur le bâtiment C, la pose de l’isolant a été achevée sur les façades Est et Sud, elle se poursuit sur les façades à l’intérieur de la faille entre les bâtiments B & C.

Pour finir, 2 autres vues de Parc 17… de quoi patienter jusqu’à la parution de l’article promis pour cette semaine et qui arrivera … cette semaine 😉

Parc 17 depuis le belvédère

Parc 17 depuis le belvédère

Parc 17 depuis l'extrémité des bassins du Parc Martin Luther King

Parc 17 depuis l’extrémité des bassins du Parc Martin Luther King

 

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Un tour complet du propriétaire

Mercredi dernier, John-David Fernandes, le directeur du programme de Parc 17, nous a reçu exceptionnellement sur le chantier. Nous avons ainsi pu découvrir l’ensemble de notre immeuble, du toit au sous-sol ! Une visite « commentée » afin d’informer tous les lecteurs de ce blog sur les spécificités de Parc 17 et l’avancée de sa réalisation.

Cette rencontre permettra aussi de faire un article sur le rôle d’un directeur de programme et de revenir sur la genèse de cette opération immobilière. Cet article de fond paraitra à l’occasion de la 100ème semaine des travaux !

Merci encore à John-David Fernandes pour le temps qu’il a nous a consacré et la franchise de ses propos.

John-David FERNANDES explique les aménagements du toit terrasse.

C’est coiffés des inévitables casques blancs de protection que nous avons pénétré dans l’immeuble par l’entrée du bâtiment A. Ici, il n’y a que du béton brut… Les parties communes seront aménagées en dernier. Logique car les allées et venues des ouvriers risqueraient de les endommager.

Première surprise : pour monter dans les étages supérieurs, plus besoin d’emprunter les « lifts » extérieurs, les ascenseurs fonctionnent déjà ! En réalité, il n’y a qu’un ascenseur par bâtiment qui est en service. Comme ils servent actuellement de monte-charges pour les ouvriers, la cage est protégée de parois en bois et de film plastique afin d’éviter les dommages. Mais, malgré ces protections, « il est souvent nécessaire de réparer des dégâts, avant la livraison », nous confie John-David Fernandes. Nous sommes frappés par le silence de l’ascension…

Une fois arrivés au 11ème et dernier étage, une échelle et une trappe nous ont permis d’accéder sur le toit. D’abord, nous sommes époustouflés par la vue sur Paris à 360 degrés ! Les toits semblent totalement aménagés. De larges panneaux solaires en occupent pratiquement toute la surface, mais ils ne sont pas encore branchés. A terme, l’électricité produite par ces panneaux sera revendue à EDF. Ce revenu permettra de faire baisser la facture des charges des parties communes. Sur le toit terrasse, recouvert de graviers, on trouve aussi l’évacuation des VMC. A quelques mètres de nous, les antennes relais téléphonique sur le toit de l’Ibis. Notre guide nous rassure : « Nous avons demandé à SFR que ces antennes soient coupées dans la journée afin de ne pas nuire aux ouvriers sur le chantier. Dans l’avenir, elles devraient être déplacées pour être mises à distance de Parc 17 ».

Panneaux solaires du toit terrasse

En regardant dans les failles, entre les bâtiments, nous constatons que l’isolant commence à être posé sur les murs des terrasses. Les cassettes, les panneaux métalliques recouvrant la façade, y sont stockées afin d’être fixées dans la foulée.

 

Nous retournons dans l’immeuble pour un petit tour des appartements. Pas de doute, les aménagements intérieurs avancent… En ce moment, les entreprises réalisent les levées des réserves constatées pendant « la visite cloisons » et acceptées par Vinci. Des photos sont prises, à chaque étape, pour apporter la preuve de la modification. Chaque appartement a donc un dossier avec des notes, mais aussi des photos de l’avancée des travaux et des modifications apportées. Tout cela, le directeur de programme le consulte sur sa tablette.

Au programme, en ce moment, dans les appartements : peinture, pose du carrelage et du parquet. Les trois bâtiments ne présentent pas le même état d’avancement. Les entreprises interviennent dans cet ordre : le C, le B, puis le A. En effet, dans le bâtiment C (le plus à l’Est), nous visitons des appartements où les salles de bains sont carrelées avec les meubles-vasques installés, les deux couches de peinture blanche passées sur les murs et le parquet posé ! Dans le bâtiment B (celui au centre), le parquet n’est pas encore posé, mais salles de bains et peintures sont bien avancées. Pour le A (le plus à l’Ouest) : pas de carrelage, mais une première couche de peinture dans certains appartements. Ce décalage devrait se poursuivre jusqu’à la fin du chantier. Du coup, la livraison des appartements pourrait s’étaler sur 1 mois, avec le bâtiment A en dernier. « De toutes façons, livrer 100 appartements d’un seul coup est impossible », nous explique le directeur du programme.

Une constatation s’impose dans les appartements que nous avons vus : les galets ont du succès ! 40% des copropriétaires ont, en effet, choisi l’harmonie avec la frise en galets pour les salles de bain. A première vue, le résultat semble soigné. Les douches à l’italienne, avec mosaïques au sol, sont spacieuses.

Harmonie « galets » des salles de bain

Pour le parquet, difficile de se prononcer car il était recouvert d’une moquette rase afin de le protéger. Ce que nous avons pu déjà constater, c’est que les lames de parquet vont bien jusqu’au seuil des fenêtres. Ce qui n’est pas le cas, par exemple, dans les appartements de nos voisins de Cardinet 17. Pour y parvenir, la chape a subi un traitement spécial afin d’assurer l’isolation phonique. Esthétiquement, c’est une réussite ! Aujourd’hui, toutes les fenêtres des appartements sont posées. Nous avons pu ouvrir celles en accordéon à six panneaux. La manipulation est facile et tout semble solide.

Radiateur toute hauteur et parquet posé, protégé

John-David Fernandes nous a permis de visiter l’appartement témoin afin d’avoir une vision globale. « L’intérêt de cet appartement est de pouvoir se rendre compte du résultat quand toutes les prestations sont réalisées », nous explique le directeur de programme. « Cela permet de détecter des éventuels problèmes en amont, de faire des changements, de modifier les méthodes de pose ou d’installation… » Ainsi, plusieurs modifications ont déjà été effectuées après un résultat jugé décevant dans l’appartement témoin. Tout n’est pas encore définitif dans les prestations. Vous ne verrez donc pas de photos de ce « prototype ».

Ce qui séduit dans cet appartement témoin, c’est bien sûr la clarté apportée par les larges baies vitrées. Plusieurs éléments sont particulièrement réussis, comme l’encadrement des fenêtres, couleur aluminium, qui rappelle l’esthétique extérieure de notre immeuble. Les volets roulants sont étonnamment fins, grâce leur fabrication en aluminium. Ils descendent comme des stores, avec de l’espace entre les « lattes », ce qui va permettre de moduler la luminosité dans les appartements. Bien utile vu notre exposition ! Les interrupteurs et autres prises reprennent l’aspect de l’aluminium brossé. Nous avons apprécié leur design, mais chacun devra se faire son opinion…

Côté domotique, nous avons appris que l’accès à distance sera une option payante, si le copropriétaire le souhaite. A l’entrée, il y aura donc deux écrans : celui de la domotique et celui du portier vidéo. Ce dernier nous est apparu posé particulièrement bas sur le mur. L’explication : les sempiternelles contraintes « handicapé ».

Enfin, nous sommes allés faire un petit tour dans les sous-sols de notre immeuble, à la découverte des niveaux de parking. Les infrastructures sont terminées. Reste à réaliser les peintures. Plusieurs harmonies de couleurs ont été testées… Sous toute vraisemblance, on s’oriente vers du jaune et du gris, mais « chut ! » Rien n’est encore décidé. Il faut que Parc 17 nous réserve encore quelques (bonnes) surprises 😉

Pour finir, découverte de la façade Nord de Parc 17

2 Commentaires

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Point travaux / Semaine 98

Deux événements sont à noter sur les façades de Parc 17 cette semaine :

  • La fermeture de Parc 17 a bien avancé cette semaine avec la pose des fenêtres latérales Ouest du bâtiment A ;
  • La pose du bardage se poursuit et débute à l’intérieur des failles.
P1160334

Parc 17, 22 août 2015

  • Fenêtres

La pose constatée la semaine dernière des première fenêtres de la dernière façade de Parc 17 non encore équipée, à savoir la façade latérale Ouest du bâtiment A, se poursuit. En ce samedi, tous les cadres des portes-fenêtres 4 vantaux sont posés. Certains sont équipés de leurs vitres, d’autres pas encore. Il reste à installer les plus petites portes-fenêtres centrales de cette façade.

Pose des portes-fenêtres, façade Ouest, Parc 17

Avez-vous remarqué sur cette photo qu’il manquait un élément sur cette façade ? Non ? Nous, non plus ne l’avions pas remarqué pourtant cela crève les yeux, le lift, l’ascenseur extérieur a été démonté. Les éléments des portes-fenêtres doivent être montés par l’ascenseur extérieur situé devant la faille entre les bâtiments A et B puis être transportés à travers les appartements.

En façade Sud, la pose des volets roulants est quasiment achevée sur l’ensemble du bâtiment.

  • Bardage

La pose du bardage progresse en façade Nord. Elle semble sur le point de s’achever pour les bâtiment C et A. Elle débute sur le bâtiment A. Concernant le bâtiment C, des plaques sérigraphiées ont été déposées, sans doute repositionnées. Est-ce pour corriger le dessin ? Quant à cette façade Nord du bâtiment A, bien que partiellement cachée par le bâtiment de l’Hôtel Ibis, elle comporte tout de même des sérigraphies.

De près, de loin, les plaques sérigraphiées donnent une vision différente du dessin, qui laisse comprendre la difficulté de la pose. L’art reste précision.

Enfin, la pose du bardage débute sur les façades latérales (intérieures) de la faille entre les bâtiments B et C.

 

A présent, quelques vues de Parc 17 😉

 

Et pour terminer, une photo des immeubles COGEDIM situées à l’Ouest de Parc 17, débutés après lui.

P1160329

 

 

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Point travaux / Semaine 97

A peine rentré de vacances, un petit tour au pied de Parc 17 s’imposait pour en observer les changements visibles. Malheureusement, ils ne sont pas aussi nombreux qu’attendus 🙁

Parc 17, 16 août 2015

Le temps n’était pas magnifique ce dimanche… digne d’une fin de vacances 🙁

  • Fenêtres

La pose des dernières fenêtres de l’immeuble a débuté. Il s’agit de celles de la façade Ouest de Parc 17, à l’extrémité du bâtiment A.

Quant à évoquer les ouvertures, il est aussi à remarquer la fermeture du local technique en bas du bâtiment A, façade Ouest.

Local technique, Parc 17

  • Bardage

Si l’information d’une pose du bardage en 3 semaines m’avait été donnée en juillet, force est de constater qu’il n’en est rien aujourd’hui 🙁 Sans doute la période estivale de congés y est-elle pour quelque chose : moins de monde sur le chantier et des livraisons plus espacées. Le fait est qu’aujourd’hui, seul le bardage de la façade Nord des bâtiments B et C est posé, en quasi-totalité.

Sur les photos, il est difficile à en prendre connaissance à cause du filet de protection… désolé 🙁

  • Sols

La dernière chose observée ce dimanche est celle de l’arrivée sur le chantier de lattes de parquet, tant pour les terrasses que pour les appartements ainsi que les lambourdes pour les terrasses et/ou balcons.

 

Et voilà, c’est ici que se terminera le court article sur l’actualité visible du chantier de l’immeuble Parc 17.

Bonne semaine à tous, vacanciers ou travailleurs 😉

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